Ces six premières années nous ont permis de valider notre approche innovante du conseil qui repose sur un investissement important en R&D et une très grande transparence. En effet nous produisons des états de l’art pédagogiques, des analyses du marché et des outils d’aide à la décision et méthodologies que nous partageons avec tous. Ce modèle repose également sur une grande transparence sur la composition de nos équipes et leur profil, une pratique peu courante dans notre secteur d’activité.
Un partage qui, comme l’open source, ne produit de la valeur qu’à travers son écosystème, vous. J’en profite pour vous en remercier. Il s’agit pour nous de continuer à produire des matériaux nouveaux et de très grande qualité répondant aux attentes des organisations.
La confiance que vous nous accordez nous a permis de croître fortement et nos effectifs ont doublé depuis 2010. C’est pourquoi nous venons d’emménager dans de nouveaux locaux plus spacieux. Nous aurons l’occasion de vous y convier régulièrement pour continuer à vous tenir informés des évolutions du marché et des technologies.
Un développement stratégique qui nous permet de “sortir” opportunément d’un contentieux. En effet, une société spécialisée dans l’ergonomie des interfaces allègue que nous aurions contrefait sa marque . Cette société défend même, dans le cadre de son action, que nous faisons de “l’ergonomie organisationnelle”. Après six années d’exercice, ce contentieux agressif tant sur le fond que sur la forme ne laisse place à aucune discussion ni négociation et ne permet aucun accord de coexistence ou ne serait-ce qu’une évolution de notre marque antérieure. Si son action aboutissait nous serions considérés comme des « imitateurs » de leurs prestations et ce contentieux pourrait durer de nombreuses années.
En ce qui nous concerne, nous avons fait le choix de nous focaliser sur notre cœur de métier, notre clientèle et notre développement !
Face à la nouvelle économie des savoirs, ou ce que l’on résume par “entreprise 2.0”, les organisations sont confrontées à des problématiques de transformation différentes de celles déjà rencontrées par le passé. Les acteurs du marché, au-delà des éditeurs, vont devoir bâtir de nouveaux outils pour aider les entreprises à progresser à grande échelle. Si l’expertise nous permet d’intervenir avec succès, nous ne pouvons être au contact de chaque acteur de l’entreprise.
Notre vision est qu’expertise, service et méthodologie vont de pair. Cet investissement dans l’amélioration des démarches outillées est également l’affirmation de notre mode d’intervention opérationnel et pragmatique, auprès des équipes clientes.
Désormais c’est sous la marque Lecko que nous continuerons à développer des méthodologies et à les outiller lorsque c’est pertinent sous forme de services en ligne à l’instar du Serious Game (Sena) ou du Référentiel. Je ne vous en dis pas plus pour l’instant mais nous serons heureux de vous présenter dans quelques semaines une nouvelle offre novatrice.
]]>Nathalie Croisée avait invité également Yves Dambach, Président Directeur Général de KTM Advance, Jérémie Pras, Associé-Fondateur de Sysope.
Le coup des serious games pures et dures, c’est-à-dire ressemblant à des jeux vidéos en restreint l’accès aux imposants programmes de formations dans les grandes entreprises. Néanmoins, leurs coûts de production s’abaissent d’année en année et l’intérêt des entreprises lui croît.
Le jeu a t il sa place dans l’entreprise ?
Nous étions tous d’accord. Jérémie Pras s’en sert pour sensibiliser au sein des entreprises sur les comportements écologiques, Yves Dambach comme outil de formation proche du simulateur et nous pour acculturer les organisations aux nouvelles pratiques collaboratives.
Les problématiques de transformation dans les entreprises concernent de plus les pratiques des utilisateurs à la différence des situations passées traitant principalement des processus. Dans le cadre de l’amélioration continue des processus, l’entreprise est légitime pour définir les rôles de chacun, le champ de formation est bien circonscrit et concerne un nombre limité de personnes. Lorsqu’on aborde la collaboration et plus largement les nouveaux usages 2.0, on intervient dans la sphère personnelle du collaborateur. L’organisation de l’information, son traitement, sa gestion de temps et de ses actions, les modes d’interaction avec les autres relèvent de la responsabilité de chacun. Les pratiques se diffusent par mimétisme entre les collaborateurs.
Dans ce contexte, l’entreprise n’est presque plus légitime pour dire à chacun comment “travailler”. Elle doit susciter l’envie de travailler autrement. Les Serious Games sont à cette fin, d’excellents leviers. Collaboratif-info avait d’ailleurs réalisé un très bon retour d’expérience de l’emploi de SENA (http://sena.useo.net) par Saint-Denis la Réunion.
Retrouver l’emission intégrale sur le site de BFM Business : http://www.bfmbusiness.com/programmes-replay/emission/paris-d’avenir
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Comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, je vous rappelle notre « célèbre » matrice des potentiels sociaux qui d’après certains est en train de faire d’USEO un « arbitre des solutions de RSE sur le marché français ». C’est peut-être un peu exagéré, maintenant cela démontre que nos analyses sont plutôt pertinentes (même si tout le monde n’est pas d’accord sur tout, mais c’est le jeu) et gagnent en visibilité de par leur sérieux. Surtout que nous mettons en avant les acteurs, notamment français dont les solutions sont de qualités, tandis que nos homologues analystes américains se focalisent principalement sur les solutions anglo-saxonne (même si Bluekiwi et Xwiki ont réussi à intégrer le cadran du Gartner, en espérant que d’autres les rejoindront). Essayons alors d’élargir notre cercle d’influence vers au moins l’Europe.
Puisque je viens de parler du Gartner, eux aussi pour cette rentrée ont mis à jours leur cadran magique. Comme d’habitude, pour les 3 dernières années consécutives, ont retrouve IBM, Microsoft et Jive dans les leaders. A l’exception de Jive qui est une pure player, on a l’impression que la prime revient au gros éditeurs surtout pour leur force commercial, leur implantation dans les DSI et leur intégration dans le SI existant comme le mail avec Lotus ou Outlook. Ce qui ne remet pas en question les qualités de ces différentes plateformes, mais cela laisse tout de même songeur. Surtout quand on voit les usages possibles et fonctionnalités entre IBM et Microsoft qui ne sont pas les mêmes. Peut-être qu’un coup d’œil vers la partie visionnaire ne serait pas du luxe pour les entreprises, surtout qu’on peut facilement confondre leaders et meilleures solutions, ce qui n’est pas le cas. Il n’y a pas de meilleure solution, il y a celle qui correspond à vos besoins et vos contraintes.
J’arrive enfin à la principale raison de cet article, la sortie de l’analyse de Forrester (d’où le titre de l’article, puisque chez eux, point de cadran mais une vague) pour le troisième trimestre 2011. Pour ma part c’est la première fois que je voyais cette étude de Forrester.
Forrester commence par mettre en avant les raisons qui poussent une DSI à investir dans une solution de réseau social d’entreprise. Tout d’abord, pour des questions de gestion des connaissances (KM), la mise en réseau des collaborateurs qui travaillent de plus en plus dans un contexte de nomadisme et télétravail et enfin la pression des nouvelles générations (la fameuse génération Y) qui souhaitent un environnement SI qui correspondent au monde dans lequel on vit et non pas un SI antédiluvien.
Principale différence qui saute aux yeux, c’est que Forrester se limite à neuf solutions, beaucoup moins que le Gartner ou que pour notre matrice des potentiels sociaux. Le choix de ne pas inclure un Yammer ou un Salesforce repose sur des critères précis (62) divisé en trois grandes familles :
Voici un tableau récapitulatif des résultats
Cette analyse aboutie à la vague de Forrester :
On peut voir que Jive, IBM, Telligent et NewsGator sont ceux qui tirent le mieux leur épingle du jeu, considéré comme étant leader. Il faut noter que Newsgator apparaît sur ce schéma comme une solution indépendante alors qu’elle ne peut fonctionner sans Microsoft Sharepoint (d’où son absence du cadran Gartner). Sinon, même si la matrice USEO repose non pas sur la notion de leader mais sur cette de potentiel social, on retrouve bien ces mêmes solutions comme ayant un potentiel social important qui les regroupe. Cependant en effet, USEO ne tient pas compte de la taille, l’ancienneté, les références, l’intégration au SI ou la solidité de l’éditeur (c’est notre travail de consultants sur le terrain qui répond à ces questions de nos clients).
Question qui peut-être légitime pour un grand groupe quand il souhaite déployer un RSE au niveau corporate au delà des fonctionnalités qu’il souhaite voir intégré. Et en effet, dans ce cas il est difficile de mettre sur le même plan un IBM et par exemple un Seemy dont le potentiel social est bien évalué sur la matrice USEO.
]]>Une dizaine de journalistes (01 informatique, Collaboratif-info, Archimag, La Gazette des communes, Le courrier des maires) et blogueurs (Damien Douani (@damiendouani) qui vient de lancer sa propre agence (http://www.fadasocialagency.com/) ! (ndlr: bon vent Damien !) , Fadhila Brahimi (@fbrahimi), Romain Biard (@biskuit) (également dans une nouvelle aventure avec EZ ambassy, http://ezembassy.com), Loic Bodin (@loicbodin Renaissance Numérique http://www.renaissancenumerique.org ) ont répondu présents à notre invitation et nous avons pu passer un bon moment à échanger sur ce sujet passionnant. Nous avons également été très contents de recevoir une délégation de La Netscouade, agence et éditeur innovant dans ce domaine. Je vous invite au passage à découvrir leur dernier produit de gestion de requêtes des citoyens (http://www.beecitiz.com).
Nicolas (@nicolasgoin) présentant l’étude.
Cette étude intitulée “Une mobilisation citoyenne qui préfigure de nouveaux modes de gouvernance des politiques publiques’ analyse les modes d’organisation émergent autour des plateformes de réseaux sociaux des partis politiques.
Nous avons choisi d’étudier les plateformes des mouvements politiques, proches en fonctionnalités de ceux mis en place par les entreprises, pour comprendre comment ces outils de communication sont devenus de véritables outils d’organisation et de mobilisation. Le choix d’axer cette étude sur les réseaux sociaux tient à la marge de manœuvre laissée aux membres dans l’organisation des activités et la création de contenus qui y est plus importante que sur d’autres médias sociaux où elle se trouve souvent limitée aux fils de commentaires associés à une actualité générée par l’animateur.
Alors qu’Internet a profondément révolutionné notre façon de communiquer, la sphère politique a mis du temps avant de comprendre l’impact et l’utilité des nouveaux usages induits par cette révolution. Les années 2000 ont été celles d’un investissement progressif du politique dans le champ Internet (blogs de campagne des Régionales 2004, influence du web dans le « non » au référendum sur la Constitution Européenne en 2005, structuration du Web politique français en 2007…). Aujourd’hui les mouvements et les partis politiques sont présents de plusieurs manières sur Internet : via Twitter, Facebook et aussi des réseaux sociaux que les mouvements ont eux-mêmes créés (comme la Coopol, Désir d’Avenir….) et qui sont ouverts à tous, militants du parti ou non.
USE0 a mis en place une grille d’analyse fine pour distinguer les réseaux en fonction des usages développés (usages d’influence / usages de collaboration et usages de coordination). Cette grille révèle qu’il y a trois types de réseaux sociaux politiques: les réseaux « d’influence » visant à promouvoir les idées et les actions de l’instance politique, les réseaux « de collaboration » facilitant la mise en relation des sympathisants et le débat pour renforcer la cohésion interne et les réseaux « de coordination » ayant vocation à faciliter l’organisation de la vie militante. L’étude montre aussi que ces réseaux ont un très fort potentiel social, souvent plus élevé que celui des réseaux sociaux d’entreprise avec lesquels ils ont pourtant de nombreux points communs.
Enfin l’étude montre comment ces réseaux permettent de fédérer et de mobiliser les citoyens et constituent une opportunité pour les institutions publiques d’engager la conversation avec les administrés et de recréer de l’engagement citoyen autour des politiques publiques.
Sommaire de l’étude :
L’étude retrace l’histoire récente de l’évolution des pratiques politiques, vers une appropriation progressive d’un outil de communication devenu un outil de mobilisation : Comment les partis politiques en sont-ils arrivés à utiliser aujourd’hui les réseaux sociaux? Quels sont les principaux enjeux auxquels ces derniers tentent de répondre sur le Web?
Les nouveaux modes d’organisation citoyenne autour de projets politiques sont étudiés ainsi que le décryptage fonctionnel des usages des réseaux sociaux des mouvements politiques. Comment les principaux mouvements politiques français parviennent à exploiter le potentiel offert par les réseaux sociaux ? Quelles sont les principales orientations prises au regard des fonctionnalités offertes sur ces espaces? L’étude porte sur les plateformes suivantes : L’autre gauche, La Coopol, Les Démocrates, Désirs d’avenir, Epicentre, Europe Ecologie, Villepincom.net
Quels sont les impacts de cette acculturation du monde politique sur les collectivités ? Comment l’administration peut ou doit répondre aux demandes croissantes d’élus qui en maîtrisent de plus en plus les enjeux ? Comment évolue la relation entre les citoyens et l’institution dans le cadre de cette société de la transparence ?
Pour terminer, j’en profite pour remercier le noyau de consultants qui s’investit sur ce sujet depuis plusieurs mois et dont les travaux se poursuivront toute l’année : Joanna Walzack (@J0anna_w) Nicolas Goin (@nicolasgoin), Sophie Brassaud.
Télécharger l’étude sur la Communauté et participer à la discussion ou faites en la demande via ce formulaire
D’autres analyses seront publiées dans la continuité de cette étude, restez connectés !
]]>Ce partage d’information est au cœur de la stratégie d’USEO.
USEO s’attache à répondre aux attentes d’un marché plus exigent dans sa recherche d’expertise, d’une part en étudiant l’état de l’art de sorte à produire des repères factuels pour nourrir ses recommandations, et d’autre part en développant des méthodologies permettant d’agir efficacement au sein de grandes organisations et de se concentrer sur le contexte spécifique de chacune d’elle. Pour cette raison USEO a choisi de placer au centre de son organisation une activité de R&D dans laquelle s’investissent ses consultants.
Développer une expertise en chambre n’est plus possible aujourd’hui à l’heure où chacun fait part de son expérience et apporte un regard contradictoire. USEO a choisi d’être dans l’interaction avec son éco-système pour développer ses compétences. A cette fin, le cabinet apporte sa pierre à l’édifice en contribuant à l’enrichissement collectif et s’attache à mettre en réseau son environnement. Une dynamique stimulante pour l’ensemble de l’équipe et imposant une exigence créatrice de valeur, in fine, pour les clients. Commercialement, cette approche du conseil plus transparente est génératrice de confiance.
USEO est, sur le même modèle, partenaire de Collaboratif-info.fr, site d’information professionnelle spécialisé dans les pratiques collaboratives. L’équipe aguerrie de C.I. collecte depuis 18 mois des retours d’expérience dans les entreprises autour du développement des pratiques collaboratives. Le site fournit ainsi des repères aux entreprises à la recherche de clefs pour se transformer.
La première analyse : http://www.journaldunet.com/alfresco/
Les avis d’experts :
]]>Pour s’inscrire contacter Infopromotions : Eric GANDY – 01 44 39 85 27
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– Anthony Poncier (@aponcier) animera la table ronde “Stratégie et tactiques de déploiement du réseau social” RSE1 à 16h00 mardi 8 mars
– Christophe Borée (@cboree) interviendra sur la table ronde “Quel réseau social pour l’entreprise ? Cahier des charges, critères de choix, offres…” RSE3 à 15h30 mercredi 9 mars
– Arnaud Rayrole (@arayrole) interviendra sur la table ronde “Intranet et RSE : complément ou concurrent ?” SI5 à 10h30 le jeudi 10 mars
– Anthony Poncier, Christophe Borée et Jean-Marc Goachet (Arces) présenteront un retour d’expérience sur le déploiement du réseau social de l’Arces à 17h00 le mercredi 9 mars
Participez aux débats informels sur les thèmes suivants :
– “3 actions clefs pour lancer un RSE” avec B. Duperrin (@bduperrin, Nextmodernity), A. Poncier (USEO), S. Blanc (@seblanc, Yoolink) et vous – Mardi 8 mars à 14h30
– “Quels objectifs de participation doit-on se fixer ?” avec S. Blanc (Yoolink), E. Douaud (@emmanueldouaud, Seemy), P. Pinault (@ppinault, Blogspirit), J. Grinbaum (Personall) et vous – mardi 8 mars à 17h30
– “Comment les RSE peuvent délester l’email ?” avec G. Culpin (@gculpin, Knowledge Plaza), V. Bouthors (Jalios) et vous – mercredi 9 mars à 11h00
– “Coupler un RSE avec une autre application du SI. Possible ? Quel intérêt ?” avec J. Grinbaum (Personall), M. de Fouchecour (@marcfouchecour, Nextmodernity) et à confirmer : E. Douaud (Seemy) et G. Culpin (Knowledge Plaza) et vous – mercredi 9 mars à 14h30
– “Comment collaborer avec un RSE ?” avec V. Bouthors (Jalios), P. Pinault (Blogspirit), J. Grinbaum (Personall), R. Collin (@richardcollin, Nextmodernity) et vous – mercredi 9 mars à 17h30
– “Coupler un RSE avec une autre application du SI. Possible ? Quel intérêt ?” avec L. Pantanacce (@loran, blueKiwi), M. Brassier (Exo Platform), E. Drouynot (@manud, Broadvision), A. Garnier (@garniera, Jamespot) et vous – jeudi 10 mars à 11h00
– “Un ou plusieurs RSE dans l’entreprise ?” avec L. Pantanacce (blueKiwi), S. Blanc (Yoolink), A. Garnier (Jamespot), E. Douaud (Seemy), E. Dos Santos (Dimelo) et vous – jeudi 10 mars à 14h30.
Nous serons très heureux de vous offrir un verre sur notre stand mercredi 9 mars à 18h00.
Suivez l’événement sur Twitter grâce au #VillageRSE
]]>Etats de l’art, retours d’expériences et témoignages clients autour de l’identification et de l’analyse des solutions et pratiques de pointe dans les domaines de la recherche et de l’accès à l’information stratégique seront présentés par les principaux acteurs du domaine : Antidot, Mondeca, Exalead, Brioude Referencement, Ami Software, Qwam, Questel, Knowings, Polyspot, Roxali, KB Crawl, Knowledge Plaza, Ixxo, Useo, Yoolink Pro…
Parmi les conférences, nous aurons :
Je vous laisse découvrir le programme complet sur le site de Search 2011.
Ce premier rendez-vous professionnel de l’année a pour objectif de :
Search est organisé par Veille Magazine, le magazine professionnel de l’Intelligence économique et du management des connaissances en alliance avec le Pôle Léonard de Vinci.
]]>Également surpris et bluffé par l’ampleur des Tweets suscités. Génial, merci à tous ! Emilie Ogez a même réussi sans être présente à faire un CR très fidèle
Merci à tous pour l’attention et l’intérêt que vous portez à nos travaux. Nous restons à votre écoute sur la communauté pour échanger avec vous.
L’étude est à demander ici ou directement accessible pour ceux inscrit à la communauté
Une véritable plateforme pour aider au développement des usages dans l’entreprise
Cette plateforme est une application en ligne pour développer les usages collaboratifs, 2.0 ou plus généralement ceux liées au management de l’information. Au travers d’un scénario ludique dans une entreprise virtuelle, l’utilisateur évalue son appropriation des concepts et son niveau de pratique. Pour l’entreprise utilisatrice, la force de la démarche est d’être pragmatique, d’allier sensibilisation et diagnostic et d’être ludique. L’objectif est d’aider les porteurs de ces démarches dans l’entreprise, en leur fournissant un levier pour faciliter la sensibilisation et le diagnostic des pratiques, dans l’optique d’associer une action d’accompagnement adaptée et ciblée.
Êtes-vous prêt pour l’entreprise 2.0 ?
La version Découverte est gratuite. Son objectif est de donner envie aux entreprises de lancer de telles campagnes. Qu’il y ait ou non un projet en phase de déploiement, développer les usages des collaborateurs est un capital essentiel pour l’avenir de l’entreprise. Établir un tel diagnostic permet, soit de voir comment mieux utiliser les outils existants, soit de préparer de nouveaux projets de manière plus éclairée.
Le scénario de la version Découverte s’intitule “Etes-vous prêt pour le 2.0?”. Il projette l’utilisateur dans l’entreprise Chips&co, dans laquelle il doit mener à bien la mise sur le marché de nouvelles chips, en 2010, dans un univers ou l’information est massive et les expertises diffuses. Useo est ensuite à la disposition des entreprises qui souhaitent concevoir leur propre dispositif de développement des usages ; le scenario Sena est un des éléments et il s’adapte également au contexte de chacun. L’évaluation restituée dans cette version est volontairement résumée à 3 niveaux. Dans la version complète d’autres indicateurs sont remontés comme par exemple : le niveau de maturité, le niveau de confiance (envers le support électronique), la sensibilité au partage et au changement.
La plateforme est accessible à l’adresse : http://sena.useo.net
A vous de jouer ! et venez nous en parler sur la communauté Useo : http://referentiel.useo.net
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