On September 29th, we released our third guide the Microsoft collaborative universe. Strategy, new features and applications, opportunities and limits regarding usages, interoperability… Get ready to dive into it and understand it better!
Dowload the study here (free)
Office 365 is an extremely rich and evolving product but wrapped in a marketing veneer that needs to be peeled away. Getting the most out of the product on offer to support a change in practices requires an in-depth analysis of Office 365. Luckily for you, we spent time to deeply study the bundle and produce the report, which has 8 key points to remember. By the way, we used the Office 365 tools to work on it
1- A cutting edge product
Clearly one of the best products on the market, especially on the productivity side. It rivals the specialist solutions in every field!
2- A continuously improving catalogue
Every usage is addressed by one or several applications. A usage is missing? Trust Microsoft to deliver a new feature or application to equip it, sooner or later. By the way, Microsoft just launched yesterday Microsoft Teams for teams productivity and enriched collaborative conversations (poke Slack).
3- A lack of integration reducing potential usages
The applications are not very integrated with each other. The product fragments more quickly than it integrates, which creates problems when it is used in businesses.
4- The Digital Workplace, an embryonic promise
5- A room for complementary third party solutions
6- Behind the brand: a variety to be dealt with
7- A significantly depleted On-premise version of Office 365
8- Companies losing control of their data
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Disposer des bons indicateurs permet de porter ses actions sur l’essentiel et de les réalignés sur l’objectif. Les plans d’actions confrontés à la réalité doivent être réajustés régulièrement. Transformer une organisation à commencer par changer les pratiques de travail collectives est complexe. La progression est sporadique. Disposer d’indicateurs appropriés permet d’avoir une approche “test & learn” et progresser pas à pas.
Dès qu’une plateforme dépasse les quelques milliers d’utilisateurs, il est difficile de savoir ce qu’il s’y passe : quel est le niveau d’adoption des nouvelles pratiques ? Quelles initiatives génèrent de l’engagement ? etc. Vous êtes comme un marin en pleine nuit au bord des côtes, face à des milliers de lumières vous empêchant de vous situer. Vous avez besoin de connaître votre vitesse, votre cap et vous repérer géographiquement. La navigation à vue a ses limites.
Bâtir un tableau de bord devient clef pour réussir sa transformation. Les indicateurs influencent l’action, car instinctivement on fait en sorte de les faire progresser. Alors, il est capital de bien les choisir : La pertinence d’un indicateur de pilotage s’évalue en fonction de sa signification au regard de l’objectif recherché et l’existence d’une action corrective. Et attention, trop d’indicateurs nuit également au diagnostic et à la prise de décision qui s’en suit car on ne hiérarchise plus les signaux remontés. L’enjeu de la transformation interne est de faire progresser les gens dans leurs pratiques collaboratives, pas de co-produire plus de contenus. Les indicateurs doivent sortir de cette mesure de la contribution pour s’intéresser à celle des comportements.
La Ligne métier SI de Crédit Agricole SA suit ainsi la progression de son réseau social a l’implication de ses collaborateurs, au nombre de personnes Leaders, engagés, certains étant engagés en permanence, d’autres sur des périodes de quelques mois, sur une ou plusieurs activités. L’objet de leur réseau social est de supporter le développement des synergies transversales entre 13 entités. La valeur créée par le réseau social est directement liée au nombre de collaborations entre les équipes. Pour ces raisons leur accompagnement est focalisé sur l’objectif de faire changer les postures et voir grossir les rangs des « engagés ».
Télécharger le retour d’expérience de la Ligne métier SI de Crédit Agricole SA sur http://analytics.lecko.fr
]]>Dans une tribune publiée par L’Usine nouvelle, Nicolas Grué, consultant e-business, explique que le réseau social d’entreprise (RSE) permet notamment de « transcender les habilitations hiérarchiques, tout en respectant les limitations d’accès propres à certaines informations » Ce dispositif permet aux utilisateurs de collaborer, de partager, de capitaliser l’information tout en respectant les niveaux de confidentialité. Ceci semble être approuvé par une grande majorité de salariés mais dans les usages cela devient compliqué.
Les salariés participent très peu voir pas du tout. Le manque de temps est souvent évoqué mais aussi la peur de s’exprimer, d’être jugé.
Avant de déployer un réseau social d’entreprise, posez les objectifs simples, analysez les besoins des utilisateurs, impliquez-les, adaptez votre accompagnement. Parfois ce dernier doit être « sur mesure ».
L’engagement ne s’obtient pas en une semaine ! C’est un travail de longue haleine où les actions à mettre en place s’étalent dans le temps.
Pour mobiliser les utilisateurs, il y a des éléments essentiels que l’on oublie souvent de prendre compte dans notre réflexion :
Chaque situation est différente et il est impossible d’adapter la même stratégie à chaque environnement. Sachez que ces éléments ne sont pas les seuls à prendre en compte mais qu’il est nécessaire de les intégrer à votre stratégie de déploiement. Prendre le temps d’identifier au préalable les besoins, les sujets, les contenus à mettre à disposition, développer un accompagnement c’est assurer la pérennité de son réseau social d’entreprise.
Lorsque votre espace est lancé, pensez à prendre la température statiquement parlant, dans le but de toujours rectifier le tir. Pensez aussi à entretenir des liens avec les utilisateurs en vous intéressant à ce qu’ils font, dans le but de les connaître et ainsi de pouvoir anticiper les sujets. Je vous l’accorde ce n’est pas simple car ça prend du temps, et c’est pour cette raison qu’une personne dédiée n’est pas de trop.
Il y a 2 ans, chez Lecko nous étions les premiers à nous inquiéter de l’écart naissant entre l’affichage des projets 2.0 et leur réalité. Nous avions titré l’édition 2010 de l’étude “Une disparité propice à une bulle de la valeur 2.0“. Il était alors possible que, déçus de la faible valeur apportée par des comportements 1.0 sur une plateforme 2.0, certains reviendraient en arrière. Mais il n’en est rien.
Les entreprises s’orientent massivement vers les réseaux sociaux mais y prennent pieds avec leur culture, leurs habitudes. Si les précurseurs, eux, recherchaient des outils répondant à de nouvelles approches de collaboration, les suivants ont choisi d’y aller plus progressivement. Les entreprises se familiarisent ainsi avec les fils d’activités, les statuts, les profils. Localement, elles adoptent d’autres modèles et font progresser leur courbe d’expérience. Changer, franchir des paliers, nécessite d’associer la pratique à la réflexion.
Dans l’entreprise, le terme 2.0 regroupe donc des usages très différents. Vu de loin, peu importe, après tout il s’agit d’un début de transformation d’un processus qui prendra plusieurs années. Pour ceux qui observent de plus près, praticiens, consultants, éditeurs ou journalistes, il est important de faire la part des choses pour analyser les situations. Nous avons dans ce sens bâti un modèle composé de 3 stades d’évolution couvrant ce spectre d’utilisation des plateformes sociales : espace de diffusion, communauté et réseau. Pour chacun de ces stades, et suivant différents domaines d’application, l’étude présente la progressivité de la valeur créée et les évolutions inhérentes à appréhender.
Si dans certaines entreprises le processus de transformation est enclenché, dans d’autres cela cache des compromis mous (une plateforme permettant d’afficher une mise en actions, mais aucune mobilisation managériale). Difficile de voir la réalité des progrès réalisés dans les entreprises. Seule l’analyse des comportements effectifs permet d’en faire un diagnostic. L’analytics a de beaux jours devant lui. Lecko avec ses travaux dans ce domaine et sa solution RSE analytics est pionnier dans ce domaine.
Néanmoins, à vouloir y aller progressivement, les organisations risquent de ne pas créer la dynamique de changement suffisante pour faire évoluer les choses. J’ai tendance à penser que l’essentiel est de mettre en mouvement l’entreprise, ensuite le rythme est secondaire face au respect des collaborateurs à qui on demande d’évoluer dans des contextes pas toujours favorables.
L’étude sera présentée lors d’un évènement dédié le 31 janvier prochain. Nous y exposerons les dernières évolutions du marché et les orientations engagées. Pré-inscriptions ouvertes : http://fr.amiando.com/Lecko_04.html
Lire aussi : Entreprise 2.0 – A la recherche des leaders de pratiques
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Pour les mettre dans votre poche, comparez leur entreprise à un environnement kolkhozien dans lequel les collaborateurs ne perçoivent plus réellement l’apport de leur travail et sont asservis par leur dépendance à leur salaire. Leurs managers y sont les apparatchiks d’un système oppressant.
Ce même patron verrait d’un autre œil l’entreprise 2.0, s’il considérait que l’espace d’expression sur un réseau social était le lopin de terre distribué à chacun lors de la sortie de ce modèle de production. Charge à chacun de le faire fructifier. A l’instar de l’économie, émergent de nouvelles entreprises agraires, une économie du service “intellectuel” se développe entre les collaborateurs. Chacun est encouragé à rendre service en fonction de ses compétences ; Et si c’est en dehors de leur fonction stricte dans l’entreprise, les collaborateurs sont libres de s’entraider et de juger si c’est pour un co-bénéfice immédiat ou un effort qui portera ses fruits plus tard. L’entreprise 2.0 rend plus autonome les collaborateurs dans leur choix de s’impliquer et de trouver des terrains d’intraprenariat dans une organisation vouée à évoluer constamment.
Ce patron devra, pour réussir cette “révolution”, offrir un champ permettant au paysan de vivre et d’avoir quelque chose de plus à réinvestir. Ce champ ne sera fructifié que par ceux qui savent le cultiver ; les apprentis risquent fort de rater leur récolte. Une autonomie qui sera libératrice si l’organisation s’assure de créer les conditions de réussite de ses collaborateurs.
Reste à convaincre les apparatchiks…
PS : Après la dissolution de l’union Soviétique, bon nombre de Kolkhozes se sont transformés en entreprises agraires mais ont continué à fonctionner comme des Kolkhozes…
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Programme :
Pour en savoir plus et vous inscrire : http://matinee01ec.evenium.com/site/matinee-01-entreprise-collaborative
Adresse : Centre de conférences Capital 8, 32 rue Monceau 75008 Paris
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L’éditeur Azendoo l’a compris et focalise ses efforts sur les besoins de chaque utilisateur et sur la productivité d’équipe. En s’adressant directement aux collaborateurs, Azendoo (solution de Productivité Sociale), convainc l’entreprise pas à pas. Les nouveaux usages sont ainsi plus facilement compris et adoptés. Beaucoup plus proche du quotidien de chacun dans l’entreprise, Azendoo permet aux employés de partager, assigner et réaliser des taches en parfaite synchronisation de telle sorte que le travail d’équipe et les projets sont plus simples à mener. In fine, l’approche par la base permet à l’entreprise d’y gagner (et de quantifier les apports du social) en offrant une réponse réelle au trop d’emails, aux réunions interminables et à l’organisation du travail sur le travail.
Lecko, cabinet de conseil en organisation et nouvelles technologies, accompagne et renforce les entreprises dans leur gestion méthodologique des nouvelles démarches de développement des usages. Azendoo et Lecko vous invitent à un petit-déjeuner pour échanger autour la thématique du développement des nouvelles pratiques collaboratives dans les équipes.
Les nouvelles démarches de développement des usages collaboratifs et sociaux. Lecko présentera son décryptage du contexte dans les entreprises, les clefs pour réussir son accompagnement et les nouvelles démarches émergentes dans ce contexte.
Azendoo présentera son offre et sa vision de l’évolution des attentes des collaborateurs en matière de collaboration.
La Poste fait partie des clients « early adopters » d’Azendoo. Elle témoignera de l’intérêt et des bénéfices d’une solution comme Azendoo au sein de la direction des projets de l’Enseigne.
Pour réserver votre place : signaler votre présence sur la Communauté Lecko
]]>Un espace au coeur du Village dont la vocation est de répondre aux attentes des entreprises qui souhaitent échanger avec des experts. BlogSpirit, Bluekiwi, IBM, Jamespot, Lecko et Microsoft ont choisi de privilégier ce format sans stand dans l’optique de développer la proximité et l’interactivité.
Le Lounge sera un véritable espace de convivialité avec table basse et sièges, le café y est offert, un grand écran avec un Tweet Wall projetera toutes les réactions du public sur le #SalonRSE.
Les acteurs du Lounge vous donnent RDV à midi et en fin d’après-midi tous les jours pour prolonger les débats des conférences. Quatre témoins des conférences, praticiens ou experts du domaine, seront invités à débattre et à échanger avec le public du Lounge.
Les acteurs du Lounge organisent deux conférences plénières et feront intervenir leurs clients :
A nouveau contexte, nouvelle approche. L’entreprise se trouve aujourd’hui confrontée à une problématique de transformation inédite. Les méthodologies de conduite de changement qui ont bien fonctionné pour optimiser les processus métier à travers son informatisation, ne fonctionnent plus aujourd’hui. Elles ont montré leurs limites dans le domaine de la collaboration depuis 15 ans et le confirment dans le domaines des réseaux sociaux.
La promesse de l’entreprise 2.0 tient à la mise en réseau des collaborateurs et à leurs activités conversationnelles associées. Force est de constater que les collaborateurs maintiennent plus naturellement leur réseau sur des plateformes de Social-Networking comme Viadeo ou Linkedin qui sont externes à l’entreprise. Quelle stratégie doit adopter l’entreprise ? Comment convaincre les collaborateurs d’investir dans l’univers social de l’entreprise ?
Nous vous invitons mercredi 14 mars à 18h00 sur le Lounge pour prendre un verre !
Une édition papier à retirer sur le stand
Ce livret vous donnera la possibilité de redécouvrir les différentes productions de Lecko, tout en suivant un fil rouge autour de l’évolution des modes de relation entre les organisations et leur environnement.
Le coeur de l’étude est l’analyse du système d’information social (SI Social), enjeu majeur de la construction de l’entreprise 2.0. Quel est l’impact pour les entreprises de la socialisation de l’ensemble des applications du marché? Comment peuvent-elles gérer la coexistence entre deux logiques apparemment contradictoires: développement des usages d’un côté et volonté de rationalisation de la DSI de l’autre ? Comment Intranets et RSE peuvent-ils coexister et de quoi les entreprises ont-elles le plus besoin? Quels sont les impacts sur l’urbanisation d’un SI devenant de plus en plus social?
Atelier “Batir sa stratégie de SI social” jeudi 15 mars à 14h00.
Lecko RSE Analytics monitore les activités sociales sur une plateforme de réseau social d’entreprise afin de fournir des indicateurs aux pilotes et animateurs de ces plateformes. L’enjeu : fournir des informations pertinentes au regard des particularités des réseaux sociaux, produire des diagnostics lisibles et valoriser les progressions.
Depuis 4 mois, Lecko finalise son offre avec plusieurs clients. Jean-Marc Goachet de l’ARCES viendra témoigner des enseignements tirés de l’analyse et des indicateurs à sa disposition.
Atelier “Mesurer les évolutions vers les pratiques sociales et collaboratives avec Lecko RSE Analytics” mercredi 14 mars à 13h00.
Au plaisir de vous voir sur le salon !
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Aujourd’hui pour partager des documents, tâches, environ 53% des collaborateurs utilisent le mail à cet effet. Si le mail est moins utilisé en 2010, c’est surtout au profit du chat pour 60% des employés, d’outils de gestion de contenu ou d’outil de conférence en ligne pour 1/3 d’entre eux. Quand on voit que Google + bien sûr intègre gmail mais aussi des outils de chat, de conférence en ligne, on se dit que si ce n’est pas encore l’outil parfait de RSE fasse à des éditeurs professionnels, au niveau des usages, il accompagne les collaborateurs dans leur démarche à minima de communication et permet une ouverture vers de la collaboration.
Quand une entreprise possède un RSE, il sert fréquement au partage de contenu (64%), messagerie instantanée (59%), on peut voir d’ailleurs à ce sujet que certains éditeurs de RSE ont ajouté cette fonctionnalité dernièrement. Faire des recherches pour 52% et consulter le tableau de bord statistiques dans la même proportion; je pense que le tableau statistique doit inclure le “wall”. Quoiqu’il en soit la encore Google + répond à ces usages ayant même ajouté dernièrement les fonctions “Echo” pour mieux comprendre la diffusion de ces publications et en plus parlant “plus d’actu” sur les publications les plus populaires. Pour le mur rien de nouveau, cela était déjà présent sur la première version de G+, le “wall” étant une fonction de base d’un RSE. Là encore G+ épouse les usages des utilisateurs en entreprise et va plus loin.
Par contre il est suprenant de voir que l’annuaire enrichie (pilier du RSE), n’est fréquement utilisé que pour 44% des entreprises interrogées. D’ailleurs quand on parle de recherche d’expertise, l’annuaire de l’entreprise est deux fois plus utilisé (et encore pas trop souvent) que celui du RSE. La notion de réseau doit encore faire son chemin.
Pour les collaborateurs, ces outils servent avant tout à coordonner/gérer un projet (82%). C’est un peu floue, cela peut aller du mail à du gantt ou aux outils métiers. Mais sinon :
Là encore sur la création de contenu à plusieurs, les RSE sont un peu en retrait, par rapport à Google +, et la réunion à distance est aussi moins efficace que Google + qui a mis en place tout un ecosystème de communication (notamment de la videoconférence).
Par rapport à ces outils collaboratifs, les attentes sont avant tout sur l’ergonomie et la facilité (61%), l’accès en situation de nomadisme (42%) et de nombreuses fonctionnalités. Je ne reviens pas sur ce dernier point, les fonctionnalités n’étant pas décrites et cela allant souvent à l’opposé de l’ergonomie et de la facilité. Concernant le nomadisme, de plus en plus de solution ont/vont avoir un application iphone/ipad/android/BB comme c’est déjà le cas pour G+. Concernant l’ergonomie, il y a encore du boulot chez Google +, notamment pour les “Apps”. C’est loin d’être gagné, même si on sent que Google se penche sur la question, la mise à plat de l’ensemble des fonctionnalités de son ecosystème au regard de G+, comme Reader dernièrement, est aussi l’occasion d’harmoniser l’ergonomie des différentes parties.
Au final, on peut voir que Google + se fond bien avec les usages collaboratifs développés par les utilisateurs dans les entreprises. Cela en fait-il le principal concurrent des RSE ? Quand on discute avec des clients, beaucoup confondent communication, collaboration et mise en réseau. Il est vrai que Google + surfe sur ces 3 piliers, même si sur les fonctionnalités “pures” RSE il y a encore du boulot, notamment sur la gestion des communautés. Mais quand on voit à quelle vitesse il évolue, il est possible que G+ rattrapent rapidement ce retard. Mais pour le moment, c’est beaucoup plus un outil de communication, développant un vrai potentiel collaboratif lorgnant vers les RSE.
Mais au-delà des fonctionnalités, c’est surtout une question d’image et de confiance qui pour le moment va faire défaut à G+ dans les entreprises. Comment sur une plateforme qui souhaite adresser un public corporate, je peux proposer des jeux, comme sur Facebook, dans le même temps. Cela brouille le message. Sur la confiance, je ne suis pas sûr que beaucoup d’entreprises acceptent de voir l’ensemble de leurs données chez Google. Même si le rapport au Cloud ou SaaS évolue, Google souffre encore d’un déficit d’image sur ce terrain, notamment sur la confidentialité vis à vis des Etats-Unis.
En tout cas je suis impatient de voir la suite, on est encore en beta, et pour moi rien n’est joué. Sans parler d’acteurs comme Cisco qui eux aussi permettent une véritable intégration de leur écosystème de communication, maintenant complété par leur solution RSE Quad. Si Google + n’est pas encore un “danger” pour les éditeurs de RSE, il va en tout cas faire réfléchir à leur fonctionnalité et leur place dans la communication interne.
A suivre…
]]>Nathalie Croisée avait invité également Yves Dambach, Président Directeur Général de KTM Advance, Jérémie Pras, Associé-Fondateur de Sysope.
Le coup des serious games pures et dures, c’est-à-dire ressemblant à des jeux vidéos en restreint l’accès aux imposants programmes de formations dans les grandes entreprises. Néanmoins, leurs coûts de production s’abaissent d’année en année et l’intérêt des entreprises lui croît.
Le jeu a t il sa place dans l’entreprise ?
Nous étions tous d’accord. Jérémie Pras s’en sert pour sensibiliser au sein des entreprises sur les comportements écologiques, Yves Dambach comme outil de formation proche du simulateur et nous pour acculturer les organisations aux nouvelles pratiques collaboratives.
Les problématiques de transformation dans les entreprises concernent de plus les pratiques des utilisateurs à la différence des situations passées traitant principalement des processus. Dans le cadre de l’amélioration continue des processus, l’entreprise est légitime pour définir les rôles de chacun, le champ de formation est bien circonscrit et concerne un nombre limité de personnes. Lorsqu’on aborde la collaboration et plus largement les nouveaux usages 2.0, on intervient dans la sphère personnelle du collaborateur. L’organisation de l’information, son traitement, sa gestion de temps et de ses actions, les modes d’interaction avec les autres relèvent de la responsabilité de chacun. Les pratiques se diffusent par mimétisme entre les collaborateurs.
Dans ce contexte, l’entreprise n’est presque plus légitime pour dire à chacun comment “travailler”. Elle doit susciter l’envie de travailler autrement. Les Serious Games sont à cette fin, d’excellents leviers. Collaboratif-info avait d’ailleurs réalisé un très bon retour d’expérience de l’emploi de SENA (http://sena.useo.net) par Saint-Denis la Réunion.
Retrouver l’emission intégrale sur le site de BFM Business : http://www.bfmbusiness.com/programmes-replay/emission/paris-d’avenir
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