Chez Lecko, nous avons la conviction que les serious game peuvent aider les équipes projets dans le développement des usages, et ce à travers trois objectifs : susciter de l’intérêt autour du projet ; sensibiliser les agents aux nouvelles pratiques ; et capter les niveaux de maturité des agents.
Le serious game permet de capter l’attention des collaborateurs. Chacun y accède depuis son poste de travail. Durant 15 minutes, le collaborateur est immergé dans une situation virtuelle et joue suivant un scénario conçu sur mesure en fonction des besoins de l’organisation. Notre fil conducteur chez Lecko repose sur un ton décalé. C’est ainsi que vous pourrez inventer des chips incassables ou aider un super héros dans nos deux versions de démonstration.
L’introduction d’un réseau social interne, ou plus classiquement d’un intranet collaboratif, rebat les cartes des pratiques de travail. L’agent voit ses possibilités de participation augmenter. L’encadrant doit faire face à de nouveaux enjeux d’exemplarité et de lâcher prise. Même l’information en est bousculée. Si elle n’est plus totalement délivrée et contrôlée par la communication interne, est-elle fiable ? Pertinente ? Utile ? L’utilisation d’un serious game est un bon moyen pour requestionner les pratiques. Dans telle situation, comment faites-vous aujourd’hui ? Demain, comment feriez-vous ?
Lorsqu’un programme de formation est conçu, celui-ci s’adresse aux différentes cibles pressenties. Il est conçu à partir des ressentis de l’équipe projet, et des retours du service Formation. Avec le serious game, nous pouvons nous appuyer sur les réponses des agents pour les diriger vers les formations les plus pertinentes.
Dans certains cas, il est possible de relier l’annuaire de l’intranet aux réponses des participants. Cela permet d’enrichir le dépouillement des données RH anonymisées disponibles. Les enseignements sont alors très fins : quelle population est la plus sensibilisée au sujet ? Les encadrants répondent-ils de la même manière que les autres agents ? Etc.
Au final, nous concevons notre métier comme celui de fournisseur de solutions de transformation. Le serious game ne se suffit pas à lui-même. Il vient appuyer le travail des directions métiers dans l’accompagnement de leurs agents. Ne vous étonnez donc pas si nous vous parlons HTML5 et CSS, alors que nous sommes un cabinet de conseil en organisation !
Nous présenterons plus en détail nos convictions, notre vision de l’accompagnement au changement et des retours d’expériences :
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Compétences : avoir entendu parler du réseau “Internet”
Rémunération : à négocier*
Localisation de l’employeur : ville de Toile**
Comment postuler : n’envoyez pas votre CV, prenez 3 minutes pour jouer en ligne sur le serious game SENA
Si vous êtes déjà agent ou élu d’une collectivité et que vous jouez avant le 31 décembre 2013, vous pourrez peut-être gagner une journée de séminaire sur le web dans les collectivités, animée par le cabinet Lecko.
* la ville de Toile n’existant pas, il est très probable que vous ne soyez pas rémunéré
** la ville de Toile n’existant pas, il est très probable que vous n’y travailliez jamais
*** photo non contractuelle
La transformation des organisations et le développement des usages s’opèrent sur le terrain et par la pratique. Les porteurs du changement se doivent aujourd’hui de trouver des solutions, convaincre, sensibiliser, fédérer, accompagner toutes les strates de l’entreprise. Lecko y répond par une offre de conseil rapprochant expertise et méthodologies outillées permettant de mettre en musique une démarche à grande échelle.
Le Pole Analyse et Développement (PAD) a pour première mission d’animer les travaux d’étude fournissant un matériau unique permettant d’éclairer sur l’état de l’art et d’aider à la prise de décision. Sa seconde mission est centrée sur le développement de méthodologies outillées.
Guillaume Guérin prend la responsabilité du PAD.
Julien Burlereaux, ingénieur informaticien, rejoint Lecko pour prendre en charge le développement des applications en ligne (SENA, RSE Analytics) associées aux méthodologies.
Après le Référentiel Lecko (http://referentiel.lecko.fr) et le Serious Game SENA (http://sena.lecko.fr), Lecko RSE Analytics (http://blog.lecko.fr/2011/11/rse-analytics-...) est la dernière innovation développée par Lecko au service de ses prestations de conseil.
]]>Nathalie Croisée avait invité également Yves Dambach, Président Directeur Général de KTM Advance, Jérémie Pras, Associé-Fondateur de Sysope.
Le coup des serious games pures et dures, c’est-à-dire ressemblant à des jeux vidéos en restreint l’accès aux imposants programmes de formations dans les grandes entreprises. Néanmoins, leurs coûts de production s’abaissent d’année en année et l’intérêt des entreprises lui croît.
Le jeu a t il sa place dans l’entreprise ?
Nous étions tous d’accord. Jérémie Pras s’en sert pour sensibiliser au sein des entreprises sur les comportements écologiques, Yves Dambach comme outil de formation proche du simulateur et nous pour acculturer les organisations aux nouvelles pratiques collaboratives.
Les problématiques de transformation dans les entreprises concernent de plus les pratiques des utilisateurs à la différence des situations passées traitant principalement des processus. Dans le cadre de l’amélioration continue des processus, l’entreprise est légitime pour définir les rôles de chacun, le champ de formation est bien circonscrit et concerne un nombre limité de personnes. Lorsqu’on aborde la collaboration et plus largement les nouveaux usages 2.0, on intervient dans la sphère personnelle du collaborateur. L’organisation de l’information, son traitement, sa gestion de temps et de ses actions, les modes d’interaction avec les autres relèvent de la responsabilité de chacun. Les pratiques se diffusent par mimétisme entre les collaborateurs.
Dans ce contexte, l’entreprise n’est presque plus légitime pour dire à chacun comment “travailler”. Elle doit susciter l’envie de travailler autrement. Les Serious Games sont à cette fin, d’excellents leviers. Collaboratif-info avait d’ailleurs réalisé un très bon retour d’expérience de l’emploi de SENA (http://sena.useo.net) par Saint-Denis la Réunion.
Retrouver l’emission intégrale sur le site de BFM Business : http://www.bfmbusiness.com/programmes-replay/emission/paris-d’avenir
]]>Expliquer, puis justifier l’absence de collaboration dans l’entreprise par une question de culture est, à l’évidence, une manière de se déresponsabiliser : On ne cible personne en particulier ; surtout pas les comportements de certains au sein de l’organisation… Par définition la culture d’entreprise est quelque chose qui individuellement nous dépasse, certes. Elle existait avant notre arrivée dans l’entreprise et nous avons du nous l’approprier, OK. C’est limite si elle n’est pas implicitement “intouchable” puisque la faire évoluer reviendrait à nous déraciner et revoir notre identité. De là à conclure que si c’est une question de culture, on peut donc rien y faire… il n’y a qu’un pas. Elle a bon dos la culture d’entreprise !
Pourtant tout le monde s’accorde sur le fait que la collaboration est une question d’Hommes et pas d’outil, ni de compétences des collaborateurs. Alors pourquoi ne l’assume-t-on pas ?
Parfois nous sommes même dans le déni total : Certains ont l’impression de collaborer parce qu’ils échangent des mails. “Collaborer, on sait faire”, disent-ils, “c’est le manque d’outil qui nous pénalise”. Mais si on les interroge sur la teneur de ces mails, on se rend compte qu’il s’agit de patates chaudes. Communiquer ne veut pas dire collaborer.
Et parfois nous sommes dans l’aveuglement : D’autres voient dans l’expression individuelle des collaborateurs sur des blogs ou un RSE une montée de l’individualisme néfaste à l’entreprise. J’entends. Les égos de certains vont se sentir pousser des ailes. Et alors ? tant mieux si ca marche ! n’est-ce pas surtout un formidable support pour inciter chacun à partager et échanger autour de ses centres d’intérêts. Ce que je trouve intéressant dans la dynamique actuelle avec les RSE, c’est cette envie de mettre de la conversation autour des processus, cad ré-affirmer que les échanges mettent de l’huile dans les rouages et créent ainsi de la valeur pour l’entreprise.
Dans ce contexte mettre en place des outils collaboratifs n’est parfois qu’agitation. Si vous n’êtes pas définitivement convaincus que la difficulté ne se situe pas dans l’outil, choisissez celui qui vous semble le meilleur, la Rolls des outils collaboratifs et voyez ! A l’heure du Saas, 80% des outils collaboratifs du marché sont accessibles “on demand”, l’expérience est rapide à mettre en place.
La collaboration est bien l’affaire de tous dans l’entreprise, et chacun y est confronté au quotidien. Agir de manière collaborative est de notre responsabilité individuelle ; il faut se voir comme acteur. La collaboration n’est pas qu’un concept, elle se concrétise dans les micro-actions du quotidien. Posez-vous la question : Aujourd’hui, qu’ai-je fait de “collaboratif” ? Et comme il est difficile d’être collaboratif si l’environnement n’est pas un minimum réceptif. Demandez-vous ensuite si vous avez joué le jeu et été réceptif aux sollicitations collaboratives de vos collègues.
Conduire le changement ou développer les usages c’est travailler sur ces micro-actions à l’échelle de l’entreprise. Aider vos collègues à distinguer les comportements “collaboratifs”. Il n’y a pas de fatalité, c’est en revanche un travail de fond. Si vous ne savez pas comment agir, venez nous voir, mais ne vous attendez pas à un coup de baguette magique.
Si vous avez l’impression d’avoir fait le tour de la question, vous verrez dans les pratiques 2.0 beaucoup plus de comportements collaboratifs, qu’il n’y parait. Les RSE sont le terrain d’expression de ces micro-collaborations. Les entreprises ont aujourd’hui l’opportunité de profiter de cette impulsion, elles n’ont qu’à ouvrir les yeux, pour voir leurs collaborateurs converser sur ces plateformes.
Certaines entreprises ont ouvert la voie. Souvenez-vous, Mexico, 1968…
Êtes-vous prêt pour le 2.0 ?
SENA est une véritable plateforme pour aider au développement des usages dans l’entreprise.
Cette plateforme est une application en ligne pour développer les usages collaboratifs, 2.0 ou plus généralement ceux liées au management de l’information. Au travers d’un scénario ludique dans une entreprise virtuelle, l’utilisateur évalue son appropriation des concepts et son niveau de pratique. Pour l’entreprise utilisatrice, la force de la démarche est d’être pragmatique, d’allier sensibilisation et diagnostic et d’être ludique. L’objectif est d’aider les porteurs de ces démarches dans l’entreprise, en leur fournissant un levier pour faciliter la sensibilisation et le diagnostic des pratiques, dans l’optique d’associer une action d’accompagnement adaptée et ciblée. A vous de jouer sur http://sena.useo.net.
]]>Une véritable plateforme pour aider au développement des usages dans l’entreprise
Cette plateforme est une application en ligne pour développer les usages collaboratifs, 2.0 ou plus généralement ceux liées au management de l’information. Au travers d’un scénario ludique dans une entreprise virtuelle, l’utilisateur évalue son appropriation des concepts et son niveau de pratique. Pour l’entreprise utilisatrice, la force de la démarche est d’être pragmatique, d’allier sensibilisation et diagnostic et d’être ludique. L’objectif est d’aider les porteurs de ces démarches dans l’entreprise, en leur fournissant un levier pour faciliter la sensibilisation et le diagnostic des pratiques, dans l’optique d’associer une action d’accompagnement adaptée et ciblée.
Êtes-vous prêt pour l’entreprise 2.0 ?
La version Découverte est gratuite. Son objectif est de donner envie aux entreprises de lancer de telles campagnes. Qu’il y ait ou non un projet en phase de déploiement, développer les usages des collaborateurs est un capital essentiel pour l’avenir de l’entreprise. Établir un tel diagnostic permet, soit de voir comment mieux utiliser les outils existants, soit de préparer de nouveaux projets de manière plus éclairée.
Le scénario de la version Découverte s’intitule “Etes-vous prêt pour le 2.0?”. Il projette l’utilisateur dans l’entreprise Chips&co, dans laquelle il doit mener à bien la mise sur le marché de nouvelles chips, en 2010, dans un univers ou l’information est massive et les expertises diffuses. Useo est ensuite à la disposition des entreprises qui souhaitent concevoir leur propre dispositif de développement des usages ; le scenario Sena est un des éléments et il s’adapte également au contexte de chacun. L’évaluation restituée dans cette version est volontairement résumée à 3 niveaux. Dans la version complète d’autres indicateurs sont remontés comme par exemple : le niveau de maturité, le niveau de confiance (envers le support électronique), la sensibilité au partage et au changement.
La plateforme est accessible à l’adresse : http://sena.useo.net
A vous de jouer ! et venez nous en parler sur la communauté Useo : http://referentiel.useo.net
]]>Sur notre stand : venez découvrir SENA SG, notre Serious Game et notre méthodologie associée
Ce Serious Game est destiné à évaluer le niveau de pratique des TIC des collaborateurs de l’entreprise afin de piloter un dispositif d’accompagnement différencié. Cette nouvelle version de la méthodologie SENA (Solution d’Evaluation du Niveau d’Appropriation) facilitera l’évaluation et introduira des messages pédagogiques. Un démonstrateur sera présenté à cette occasion.
Mercredi 5 mai – 13h00 à 13h50 – Retour d’expérience autour de l’entreprise 2.0
Les plateformes 2.0 confrontent l’entreprise à de nouvelles problématiques de gouvernance de projet :
Définir son besoin, investir dans une technologie, assurer le développement de nouveaux usages et l’évolution culturelle de l’entreprise, nécessitent de nouvelles approches dans ce contexte. NEXTMODERNITY et USEO qui co-animent cet atelier feront part de leurs regards croisés sur cette problématique.
Jeudi 6 mai de 10h00 à 11h30 Table Ronde n°5 : Réseau social d’entreprise : lequel choisir ? Comment le mettre en œuvre ?
Déclinaisons B2B de réseaux sociaux grand public : les offres de réseaux sociaux sont pléthoriques. Et si on remettait les choses à l’endroit ? Conseils concrets, état de l’art et tour du marché constitueront les sujets de cette table ronde.
Animé(e) par Philippe Grange – Rédacteur en chef – Intranet Infos.com
Jeudi 6 mai de 14h00 à 15h30 Table Ronde n°7 : De l’intranet 1.0 au portail collaboratif 2.0 : 3 scénarios d’évolution
Faut-il tout jeter et recommencer ? Mieux ne vaut-il pas une évolution douce ? A quoi sert-il de se précipiter avant même la maturité des technologies ?
Du big bang à la retouche incrémentale « cosmétique », on comparera différentes stratégies d’évolution vers l’Intranet 2.0, et plus loin encore…
Animé(e) par Pascal Minguet – Journaliste/Expert – TMHC
Jeudi 6 mai de 15h00 à 15h45 : Découvrez comment le Référentiel USEO peut vous aider à mener vos projets TIC
Le Référentiel USEO, en plus de présenter l’état de l’art des usages et des solutions associées, est une véritable place d’échange destinée à tous ceux qui développent les usages dans l’entreprise : décideurs, chef de projets, techniciens :