Un espace au coeur du Village dont la vocation est de répondre aux attentes des entreprises qui souhaitent échanger avec des experts. BlogSpirit, Bluekiwi, IBM, Jamespot, Lecko et Microsoft ont choisi de privilégier ce format sans stand dans l’optique de développer la proximité et l’interactivité.
Le Lounge sera un véritable espace de convivialité avec table basse et sièges, le café y est offert, un grand écran avec un Tweet Wall projetera toutes les réactions du public sur le #SalonRSE.
Les acteurs du Lounge vous donnent RDV à midi et en fin d’après-midi tous les jours pour prolonger les débats des conférences. Quatre témoins des conférences, praticiens ou experts du domaine, seront invités à débattre et à échanger avec le public du Lounge.
Les acteurs du Lounge organisent deux conférences plénières et feront intervenir leurs clients :
A nouveau contexte, nouvelle approche. L’entreprise se trouve aujourd’hui confrontée à une problématique de transformation inédite. Les méthodologies de conduite de changement qui ont bien fonctionné pour optimiser les processus métier à travers son informatisation, ne fonctionnent plus aujourd’hui. Elles ont montré leurs limites dans le domaine de la collaboration depuis 15 ans et le confirment dans le domaines des réseaux sociaux.
La promesse de l’entreprise 2.0 tient à la mise en réseau des collaborateurs et à leurs activités conversationnelles associées. Force est de constater que les collaborateurs maintiennent plus naturellement leur réseau sur des plateformes de Social-Networking comme Viadeo ou Linkedin qui sont externes à l’entreprise. Quelle stratégie doit adopter l’entreprise ? Comment convaincre les collaborateurs d’investir dans l’univers social de l’entreprise ?
Nous vous invitons mercredi 14 mars à 18h00 sur le Lounge pour prendre un verre !
Une édition papier à retirer sur le stand
Ce livret vous donnera la possibilité de redécouvrir les différentes productions de Lecko, tout en suivant un fil rouge autour de l’évolution des modes de relation entre les organisations et leur environnement.
Le coeur de l’étude est l’analyse du système d’information social (SI Social), enjeu majeur de la construction de l’entreprise 2.0. Quel est l’impact pour les entreprises de la socialisation de l’ensemble des applications du marché? Comment peuvent-elles gérer la coexistence entre deux logiques apparemment contradictoires: développement des usages d’un côté et volonté de rationalisation de la DSI de l’autre ? Comment Intranets et RSE peuvent-ils coexister et de quoi les entreprises ont-elles le plus besoin? Quels sont les impacts sur l’urbanisation d’un SI devenant de plus en plus social?
Atelier “Batir sa stratégie de SI social” jeudi 15 mars à 14h00.
Lecko RSE Analytics monitore les activités sociales sur une plateforme de réseau social d’entreprise afin de fournir des indicateurs aux pilotes et animateurs de ces plateformes. L’enjeu : fournir des informations pertinentes au regard des particularités des réseaux sociaux, produire des diagnostics lisibles et valoriser les progressions.
Depuis 4 mois, Lecko finalise son offre avec plusieurs clients. Jean-Marc Goachet de l’ARCES viendra témoigner des enseignements tirés de l’analyse et des indicateurs à sa disposition.
Atelier “Mesurer les évolutions vers les pratiques sociales et collaboratives avec Lecko RSE Analytics” mercredi 14 mars à 13h00.
Au plaisir de vous voir sur le salon !
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Le CXP est un cabinet d’analyse des progiciels au service des grandes entreprises. La confiance accordée par cet acteur historique est une reconnaissance supplémentaire de l’investissement réalisé par USEO depuis 4 ans dans la méthodologie DOTU et l’analyse des usages et solutions Web. Ce partenariat permet au CXP de profiter de l’expertise acquise par USEO qui profite en retour d’une visibilité accrue auprès de grands comptes.J’en profite pour remercier Thomas (Poinsot) notre responsable pôle Etude pour son investissement dans la réalisation et la coordination de ces travaux.
Cette étude est une nouvelle occasion de faire un point sur la tendance du développement des RSE dans l’entreprise. Si l’offre continue de s’enrichir et si les entreprises ont bien mesuré les enjeux à démarrer leur courbe d’expérience sur cette nouvelle ère de l’internet, nous dégageons actuellement 3 tendances :
Si il y a un an les pure-players s’attaquaient au marché des solutions pour l’entreprise en entreprise (Intranet), la poussée des éditeurs traditionnels les conduit aujourd’hui à se positionner à la périphérie de l’entreprise.
Le marché a complètement intégré la mouvance de la “socialisation du SI” au point de survendre parfois les qualités “sociales” de leur produit. Alors qu’un écart fonctionnel significatif existe encore avec les solutions spécialisées, ces dernières ont du mal à faire face aux forces commerciales des acteurs historiques.
En même temps, la croissance continue des réseaux sociaux (Facebook, Twitter et Youtube en particulier) conduit les entreprises à s’y positionner et à rechercher des outils pour maitriser leurs conversations externes et enrichir leurs sites existants. Les éditeurs spécialisés développent aujourd’hui leur offre dans ce sens.
Les RSE renforcent la distinction entre projets informatiques métiers et projets TIC. Les organisations projets s’initiant par une évolution de processus à outiller ne sont résolument pas adaptées.
Les RSE sont à la fois une évolution externe que l’entreprise peut subir et une réponse à des modes d’organisation “en réseau” émergent de fait dans l’entreprise mais généralement peu encadrés et peu assistés. Ce n’est pas une brique qui complète le SI mais une couche qui s’y ajoute ; il est difficile de désigner un porteur légitime.
Les processus projets sont également mis à mal par l’impossibilité pour l’entreprise de définir un besoin mature sur ces sujets. La réalisation d’un CDC dans ce contexte conduit en général à mettre en place une boite à outils et à s’intéresser aux usages ensuite… ouille…
L’entreprise à besoin de se réorganiser autour de l’usage des TIC.
La force des RSE tient à leur capacité à mettre en relation et à identifier les expertises sur la base de l’activité de chacun. Développer les usages conversationnels est un enjeu majeur car il permet de multiplier le nombre d’occurrences sur lequel va reposer l’analyse. Or, les fonctions “sociales” se développant sur chaque brique du SI avec des technologies différentes non communicantes ne permettent pas de consolider ces informations. Non seulement, chaque collaborateur possédera autant d’identités numériques que de briques “sociales”, mais les moteurs de suggestions auront une vue très parcellaire pouvant anéantir leur pertinence.
La captation d’autant d’information sur l’activité des collaborateurs et la transparence accrue posent des problèmes éthiques qu’il faudra traiter.