Since 2004, LeWeb has brought together influent people and visionaries from the Silicon Valley on stage to talk about current innovations. LeWeb welcomes 3200 participants every year , the event is nowadays worldwide known and counts 250 000 followers on Twitter.
As an innovative consulting company focused on digital transformation, Lecko will attend the event. Our consultants will cover the discussions and share them within Lecko community.
This year several major trends will be addressed.
Several speakers will talk about the future of healthcare. Technology and shared economy has changed so far many industries. For some visionaries, Healthcare and digital health specially is about to boom. Since the rise of smartphones and wearable through sensors, the healthcare industry is changing. To talk about major aspects and the future of the industry, LeWeb brings up on stage:
A debate on the future of the healthcare industry will close the sequence.
More and more companies build up a business to take advantages of what drones offer. LeWeb is bringing the main actors of this new rising industry to share their experience on that subject. Regarding drones, we can ask ourselves different kind of questions. Will we see drones flying over our shoulders on a regular basis to deliver packages? What about the government? Is a law about to make building this kind of business really difficult?
Companies’ owners and innovators such as Eric Cheng from DJI or Christian Sanz from Skycatch will go through theses subjects and share their visions.
Bringing people together, collaboration and working together on a matter, DIY and the Internet of things are definitely part of current business model.
As part of the shared economy, we saw several start-ups offering new kinds of services. BlaBlaCar allows its users to share their cars, Airbnb helps you share your home, and so on.
The rise of these business models can be disrupting for users and profesionnals
In order to discuss it, LeWeb is bringing Marcus Weller CEO of skully, the most innovative motorcycle helmet of the moment, Jeremy Johnson from Andela and Brian Solls from Altimeter Group.
During three days, experts will discuss several other subjects. The impacts of the Internet of things within companies, crowd economies are some of these. By the end of the three days show, we will be able to enjoy the amazing start-up competition finalists’ demos.
Lecko is thrilled to attend such events ! Do not forget to follow us on this blog and on twitter : @LeckoFR & @LeckoEN !
]]>C’est lors de son passage que Ben Gomez (Vice-président de Google) a annoncé l’arrivée du Knowledge Graph en France. Pour ceux qui ne la connaîtraient pas encore, cette évolution consiste à rendre le moteur de recherche plus intelligent. En s’appuyant sur des données issues de différentes sources (Wikipedia et Freebase pour n’en citer que deux) et en les recoupant avec vos historiques de recherches, Google vous propose désormais une sorte de « fiche d’identité pertinente » des contenus recherchés. En d’autres termes, si vous tapez « Hôtel Costes » et que votre historique de recherche indique que vous êtes un fan d’électro, le Knowledge Graph vous proposera d’acheter les albums du même nom…et non une map vous indiquant où se situe le célèbre hôtel parisien. Avec ce nouveau service, Google étend encore un peu plus son champ d’action et sort du cadre des mots en s’attaquant aux contenus. Une évolution vers la sémantique qui a pour objectif à (très) long terme de faire de Google un moteur de recherche capable d’interpréter des demandes du quotidien, telles que « que reste-t-il dans mon frigo ? » (Une évolution intimement liée au développement de l’Internet des Objets).
Un mois après l’arrivée du Knowledge Graph, c’est au tour de Facebook de dévoiler son moteur de recherche. Lui aussi exploite les graphes sociaux, en se limitant toutefois aux données issues de votre réseau (pas de recherches sur le web donc). Une évolution que Facebook qualifie de « révolution » qui vient renforcer le mouvement initié par Google en direction d’une utilisation plus poussée des données sociales de chacun.
Ces annonces faites par les géants du web que sont Facebook et Google relance le débat quant au manque de « profilage » au sein des solutions professionnelles. En effet, ces dernières sont souvent très efficaces en termes d’indexation des données de l’entreprise mais ne proposent pas une approche centrée sur les utilisateurs. Les moteurs de recherche d’entreprise n’ont pas encore pris le virage du social et restent, dans leur grande majorité, incapables d’exploiter les graphes sociaux et les expertises d’un collaborateur pour lui faire remonter des contenus crédibles et lui suggérer des personnes pertinentes.
Pourquoi un tel constat ?
Tout d’abord, l’univers de l’entreprise est différent de celui du web en général : l’information contenue dans un système d’information est plus réduite et de meilleure qualité que celle contenue sur Internet…Les besoins ne sont donc pas les mêmes étant donné le niveau de pertinence plus élevé par nature des résultats issus des bases de données d’une entreprise. En effet, si un employé de la SNCF utilise le terme « voiture » lors d’une recherche, il est plus que probable qu’il s’agisse de trains aussi il ne semble pas très utile de disposer d’un outil permettant de faire le distinguo entre une automobile et un wagon.
Ensuite, la transversalité que permettent ces nouveaux moteurs de recherches plus sociaux se trouve bloquée par l’environnement particulier de l’entreprise. Cela requiert en effet de multiples connecteurs et de pouvoir utiliser l’ensemble des données dont on dispose or, les problématiques de droits d’accès inhérentes à la sphère professionnelle rendent complexe l’utilisation de nouveaux moteurs transversaux.
Le défi s’imposant aux entreprises semble donc d’abord de favoriser la mise en relation, et de permettre aux collaborateurs de mobiliser la ou les bonnes personnes sur la base de l’interprétation de leurs activités sociales (notamment les échanges informels auxquels ils participent).
Reste que les éditeurs de moteurs de recherche ont encore aujourd’hui du mal à aller au-delà de l’association individu/métadonnées que pourront ensuite exploiter les technologies traditionnelles. Il apparaît donc un certain retard, que viennent cependant nuancer les éditeurs de RSE plus à même de proposer une solution efficace de mise en relation. A l’instar de ce que propose désormais IBM Connection, il semble que ce soient les technologies de l’analytics adjointes aux RSE qui offrent aujourd’hui le plus de perspective.
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Windows 8 tente de tirer son épingle du jeu en misant sur le multiple devices. Steven Guggenheimer, Vice-Président de Microsoft est venu présenter, le mardi, les forces de son système d’exploitation, à commencer par l’adaptabilité des applications développées pour Windows 8 : toute application créée est consultable sur mobile, tablette et ordinateur.
Une possibilité que n’offre pas iOS et qu’Androïd ne couvre que dans une faible mesure comparé à Microsoft (rappelons que 90% des PC du monde entier sont sous Windows) et sur laquelle la firme compte s’appuyer pour rattraper son retard sur les marché des appareils mobiles. Soulignons que Nokia, HTC et Samsung équipent déjà leurs appareils de Windows 8 et que cela est plutôt concluant !
Guggenheimer a également rappelé le degré de personnalisation important inhérent à Windows 8 : chaque interface est unique et offre à l’utilisateur une expérience personnalisée (structuration en widgets que l’on sélectionne). Un positionnement intéressant qui ouvre de belles perspectives à Microsoft…pour autant Windows 8 arrivera-t-il à réellement concurrencer iOS et Android ?
C’est peut-être au sein du monde de l’entreprise que Microsoft arrivera le mieux à se démarquer : en effet, la déclinaison de Windows 8 à une multitude d’environnements est un bon moyen d’homogénéiser les pratiques et de fournir aux collaborateurs des outils accessibles de n’importe quel type d’appareil. Reste qu’une telle approche se heurte à l’engouement de plus en plus important pour le BYOD et à un niveau d’investissement élevé que peu d’entreprises peuvent se permettre.
Toujours dans le thème de la mobilité, David Marcus (CEO de PayPal) a profité de la conférence pour évoquer le « boom » mobile sur lequel mise les grandes sociétés du web et notamment PayPal (le géant du paiement en ligne a cette année atteint les 10 milliards de $ de volume de transactions).
Marcus souligne ainsi la place prédominante du mobile au sein des stratégies des grandes entreprises du web et dresse les grandes lignes de ce que seront nos téléphones et tablettes dans les années à venir : moyens de paiement, moyens de commander à distance différents objets (lampes, verrous, chauffage, etc…), supports d’échanges, etc…
Un rappel de plus de la place que sont amenés à prendre les appareils mobiles dans les mois ou années à venir. Pour les entreprises, les changements potentiels induits sont nombreux :
En marge d’une évolution des pratiques commerciales due à l’apparition de nouveaux canaux de paiement et de communication, la mobilité est donc également un vecteur potentiel de changements internes. Des évolutions à suivre… !
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