Ces 6 premiers tomes retracent l’évolution des usages en entreprises, de l’offre et de l’état de l’art (vu par Lecko). Certains éléments fluctuent chaque année, d’autres s’enrichissent.
Une offre en constante progression face à une compétition âpre entre les éditeurs
L’offre, elle, évolue chaque année. La grande majorité des acteurs du software a pris le virage du social (Cisco, Ibm, Microsoft, SAP, pour citer les mastodontes). Ces usages disruptifs ont permis à des nouveaux entrants d’émerger (Yammer racheté ensuite par Microsoft, Jive aujourd’hui leader, et en France Bluekiwi, Jamespot, Knowledge Plaza, Seemy). Ces offres créent une rupture avec les marchés traditionnels de la collaboration, gestion de contenus, km dont ils prennent le relais sur plusieurs aspects :
Ils s’inscrivent cependant dans la continuité de mouvements profonds bien antérieurs :
Nous avions montré l’année dernière l’évolution fonctionnelle des offres en 5 ans : leur couverture a doublé sur cette période. Les solutions s’améliorent indéniablement par de multiples petits détails imperceptibles. Par exemple, aujourd’hui on ne perd plus son travail lorsqu’on édite un texte en ligne, une sauvegarde automatique continue en tache fond nous préserve des aléas de la connexion. La maturité des utilisateurs a elle aussi beaucoup progressé par petites avancées discrètes. Je n’entends plus de clients me parler de “modération” ou s’arc-bouter contre les photos de profils.
Nous parlons de “potentiel social”, c’est à dire de la capacité des solutions à faciliter le développement des pratiques conversationnelles et relationnelles. Les solutions sont le support de cette évolution. Les matrices des potentiels sociaux offrent ainsi une lecture du marché.
Comment penser offrir les meilleures chances à son entreprise d’adopter des modes d’organisation plus collaboratifs si le SI ne gagne pas en agilité ?
C’est le paradoxe ou la grande faiblesse de ce marché, l’agilité n’est que superficielle avec l’évolution continue des offres de services Saas. Les solutions sont peu configurables, aucunement interopérables entre elles. Le constat établi en 2012 est globalement toujours d’actualité. Le 29 janvier (http://lecko-rse-tome7.eventbrite.fr) nous parlerons de l’application réalisée par le centre de recherche de GDF Suez pour décloisonner plusieurs de leurs RSE.
Vers la professionnalisation des équipes digitales
Si en 2009, le RSE était confié à un stagiaire, en 2014 des équipes digitales se sont constituées. Une prise en considération par les entreprises et un apprentissage sur le tas permet aujourd’hui de voir l’émergence d’une professionnalisation du développement des initiatives collaboratives. Les grands changements :
Nous avions passé en revue dans l’édition 6, les démarches pour développer les usages, cas d’usages types, stratégie de déploiement et présenter le rôle crucial des porteurs d’initiatives.
A travers la démarche de Benchmark initiée en 2013, Lecko avait caractérisé l’évolution de l’adoption des nouveaux usages sociaux et collaboratifs.
Cette année nous avons poursuivi nos travaux de Benchmark dans l’optique d’identifier les meilleurs pratiques d’accompagnement en interrogeant plus d’une cinquantaine de community managers et en comparant leurs résultats avec Lecko Analytics.
La mise en réseau des acteurs permet de rendre l’entreprise plus apte à s’adapter. Les savoirs se transmettent mieux, l’apprentissage est continu au fil des expériences initiées, l’entraide et la valorisation des réussites sont démultipliées, les managers de demain sont promus par leur aptitude à entraîner les autres. La transformation digitale n’est pas la numérisation des activités mais les changements de tout ordre (culturel, organisationnel, business modèle, offre, métiers, etc) provoqués et rendus possibles par le digital. Aujourd’hui, les porteurs de ces changements sont les travailleurs en soute quand le marketing digital récolte la lumière. Quelle entreprise pourra réussir en laissant mourir les équipes finançant aujourd’hui l’avenir avec les activités historiques et en créant “à côté” l’entreprise de demain ? Se transformer, consiste bien à muter, donc à réintégrer dans l’entreprise les innovations prometteuses. Les Chief Digital Officer vont devoir allier stimulation de l’innovation disruptive et changement culturel interne.
Rendez-vous le 29 janvier pour la sortie du tome 7 de l’étude de Lecko.
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A l’heure de l’avènement du cloud, beaucoup d’entreprises restent indécises face au choix on demand ou on premise pour leur plateforme Sharepoint. Alors que Sharepoint on premise est historiquement ancré dans les entreprises, Sharepoint on demand ou plus communément appelé online a vu le jour beaucoup plus récemment. Avec le rachat de Yammer en 2012, Microsoft à la volonté de prendre le virage du 100% cloud. Des nouvelles offres voient le jour et laissent perplexes certaines compagnies. Entre cloud, on premise et hybrid, que choisir ? Les offres présentent des différences fonctionnelles, techniques et économiques qu’il convient d’étudier pour choisir pertinemment selon ses besoins. Nous nous sommes penchés sur la question.
Des architectures Cloud/Serveur différentes
Côté on premise, on a une architecture traditionnelle. Des outils interopérables, Sharepoint y compris, sont installés sur serveur et mis sur le réseau de l’entreprise. Les services suivants sont disponibles : Sharepoint Server, OneDrive for Business et Lync Server. La messagerie mail Outlook est comprise dans la suite bureautique traditionnelle Office.
Côté on demand ou online, on retrouve les mêmes outils piliers ainsi que Exchange, l’évolution d’Outlook dans le cloud. La différence principale de l’on demand est l’ajout d’une surcouche sociale alimentée avec Yammer ou SharePoint et d’un socle cloud Office 365. Idéalement, la surcouche sociale permet d’accéder aux fonctionnalités transversales d’un réseau social d’entreprise notamment avec Yammer. Du moins, c’est l’objectif de Microsoft. SharePoint 2013 a été développé initialement pour servir de réseau social d’entreprise au sein d’Office 365. Mais Microsoft fait actuellement évoluer sa plateforme pour qu’à terme cette couche sociale soit gérée uniquement par Yammer. Un minimum d’intégration avec Office 365 est dès à présent disponible. A terme l’expérience sera complète avec par exemple des flux Yammer directement disponibles au travers des documents. Le caractère social de SharePoint est voué à disparaître au profit de Yammer. SharePoint restera néanmoins l’usine à site telle que l’on la connaît.
Au-delà du “full cloud” ou du “full serveur”, une troisième option est disponible. Aujourd’hui, début 2014, il est toujours possible de choisir sa plateforme de réseau social d’entreprise sur Office 365 : Yammer ou SharePoint. Cette possibilité de choisir entre les deux produits est uniquement proposée par Microsoft dans le cadre du service Office 365 (c’est à dire en cloud) car Yammer n’est disponible que sur du cloud. Sur l’offre on premise, on accède seulement à SharePoint 2013 avec néanmoins la possibilité de connecter un SharePoint 2013 on premise avec un Yammer online. On appel cette dernière option l’Hybride disponible via le Service Pack 1 Microsoft. Elle a l’avantage d’être une excellente façon de réaliser la transition tout en bénéficiant des avantages du cloud et du serveur.
Choisir sur un plan fonctionnel, technique et de sécurisation
Fonctionnellement il existe très peu de différences entre les offres complètes online et on premise. La seule différence réside dans la mise à disposition de fonctionnalités de reportings et de tableaux de bord uniquement disponibles en on premise. Pour le reste, les différences sont davantage d’ordre économique et technique.
Sur le plan technique, le cloud offre moins de possibilités de personnalisation de la plateforme que le on premise. Dans le cas où l’on souhaiterait personnaliser la plateforme au travers de développements spécifiques, il est préférable de partir sur un hébergement on premise. Le cloud interdit pas mal de développements, y compris pour la charte graphique où par exemple le ruban Office 365 est difficilement modifiable. En plus des difficultés d’implémentation des packages spécifiques, se pose la question de la pérennité. Le modèle cloud ne permet pas aux équipes de planifier les montées de version et de sécuriser en parallèle les développements existants. Une montée de version peut très bien du jour au lendemain avoir des impacts sur les développements spécifiques. Ainsi, si on opte pour un modèle cloud, il faudra veiller à ce que les développements soient bien circoncis au sein d’applications. Ils ne doivent pas “dénaturer” la plateforme. Développements mis à part, le cloud a tout de même l’avantage de proposer des mises à niveaux fréquentes permettant d’entretenir une plateforme à la pointe dans le temps.
Niveau sécurité, le on premise est nativement plus sure que le on demand de par son détachement avec internet. Il sera plus facile de construire une politique de sécurité autour d’une plateforme sur serveur que dans le cloud où celle-ci dépendra de Microsoft.
Des plans économiques nativement différents
Sur le plan économique, le pricing diffère beaucoup entre le on demand où l’on peut directement estimer un coût pour son entreprise et le on premise où il faudra passer par des devis négociables. Souvent, les entreprises clientes Microsoft peuvent bénéficier de réductions en renouvelant leur package on premise, un net avantage pour Microsoft qui part avec une longueur d’avance sur ses concurrents aux vues de son implantation actuel sur le marché des suites bureautiques.
Dans le cloud, les prix Microsoft sont à considérer par mois et par utilisateur. Par exemple pour une société de 50 personnes qui achète SharePoint online à 3,30 € utilisateur/mois le coût s’élèvera à 2000 € par an. Les outils, Sharepoint, Exchange, Yammer, Lync et OneDrive peuvent être achetés séparément ou dans une offre Office 365. Sous une offre Office 365 (modèle poussé commercialement) on a 8 modes répartis en trois tailles d’entreprise (Small Business, Business Premium, Midsize Business). Ces modes sont plus ou moins enrichis avec les outils, et sont à choisir en fonction de ses besoins. Deux offres sont disponibles pour les outils achetés séparément, “online plan 1” et “online plan 2”. Le “online plan 2” apporte des fonctionnalités avancées supplémentaires.
Pour les offres sur serveur ou dites on premise le prix est fonction d’un système d’attribution Server / CAL (Client Access Licence): C’est à dire, l’attribution d’une licence serveur par instance créée et d’une licence CAL par utilisateur, un “pass d’entrée” vers les applications. Pour se donner une idée, il faudra approximativement 7k€ pour un serveur et 100 à 120€ pour une CAL. Le pricing est sur devis et est donc souvent négociable à hauteur de 30% s’il y a un renouvellement par exemple.
Revenons à notre entreprise de 50 employés pour illustrer la différence entre un raisonnement cloud et un raisonnement serveur. En se basant sur nos fourchettes de prix, le coût pour une offre on premise s’élèvera à environ 12 000€, de quoi passer 6 années à 2000€ en online. Il faut alors bien s’interroger sur le besoin de renouvellement de son package informatique en terme de fréquence et de maîtrise. Dans notre exemple, si on veut renouveler sous les 6 ans il est préférable de privilégier le on demand. La plateforme bénéficiera ainsi des mises à niveau régulières disponibles sur le cloud, parfait pour une société qui se veut au top de la performance dans le temps. Mais attention, cette option laissera moins de liberté à l’entreprise pour des développements spécifiques car les mises à niveau seront pilotées par Microsoft. Au contraire, si l’entreprise veut réaliser un investissement à long terme avec des développements spécifiques à son activité, elle aura intérêt à s’orienter vers du serveur.
Recapitulatif Cloud VS Serveur
Ce tableau résume les principaux critères de choix entre une offre cloud et serveur Microsoft.
Pour aller plus loin, nous vous invitons à consulter notre “Guide non officiel de l’offre collaborative Microsoft” paru le 19 Juin 2014.
Le principe de la solution est simple : amener des challenges et de l’interactivité dans vos équipes commerciales et marketing pour booster leurs performances et réduire le turnover. Incenteev est aujourd’hui la seule solution à allier ces capacités avec un socle de réseau social permettant de créer des conversations et interactions.
Un concept qui ouvre les portes du marché
Il est assez fréquent de voir des challenges être organisés au sein des entreprises pour motiver les équipes commerciales et marketing : Un chèque cadeau Fnac pour le meilleur vendeur du mois par exemple. Cependant, ces challenges sont difficiles à animer dans la durée, prennent beaucoup de temps aux managers et coûtent cher. Incenteev propose dans son outil des fonctionnalités avancées de gestion des challenges pour y remédier. Les managers peuvent ainsi créer leurs challenges en quelques clics et les personnaliser (apparence, cycles de vie). Les commerciaux sont motivés avec un système de points et de récompenses.
On notera également l’usage “Quiz” qui permet un apprentissage et un partage des connaissances ludique autour de ces challenges. L’utilisateur paramètre son Quiz : Titre, description, choix multiples, et l’associe a un challenge existant avant de le proposer à ses collègues. Des points cadeaux sont attribués aux joueurs en fonction de leur score pour motiver à la participation.
Une interface classique qui fonctionne
L’outil, disponible en SaaS, présente une plate-forme épurée au profit de l’ergonomie. On y retrouve une interface proche de celle de Yammer ou encore de Facebook avec flux d’actualité au centre de l’écran, membres à gauche et informations transverses à droite. La prise en main est immédiate et agréable, quelque soit le terminal utilisé.L’outil est disponible en responsive design sur tablette et propose une application dédiée pour smartphone qui vous permettra de relever les challenges où que vous soyez.
Un RSE métier mais pas généraliste
Doté également de fonctionnalités de RSE (communautés, espaces de partage de document, diffusion de médias, etc.) Incenteev devient petit à petit un vrai RSE métier, bien différencié des généralistes par sa mise en scène propre à animer des équipes marketing et commerciales.
L’ajout récent de groupes renforce l’aspect social autour des challenges et des Quiz. On bénéficie désormais d’un espace documentaire pour partager ses documents. De plus, les profils utilisateur proposent des onglets “palmarès”, “prix”, qui mettent en valeur l’implication des challengers. L’outil propose également une fonctionnalité d’abonnement qui permet de surveiller l’avancement de ses collègues. Ces fonctions améliorent l’expérience de l’utilisateur et l’orientent vers plus de challenge.
En conclusion, Incenteev se démarque de par sa simplicité et son accessibilité qui réconforteront votre DSI et de par son concept innovant qui améliorera votre force de vente !
]]>Michel Ezran a été séduit par notre projet d’entreprise et son approche innovante, pour répondre aux attentes du marché en matière d’accompagnement. Lecko renforce ainsi ses équipes et sa capacité à répondre aux enjeux de grandes entreprises. Lecko va continuer à se distinguer par la conjugaison de son expertise avec son outil d’aide à la décision pour le choix de solutions, sa démarche d’accompagnement de Micro-social-learning ou son approche du pilotage de la transformation 2.0 bâtie autour de Lecko RSE Analytics.
Chez Renault il avait développé et piloté le programme B2E. Après avoir déployé à large échelle (60 000 utilisateurs) les pratiques de collaboration à distance, il a assuré la responsabilité de l’Intranet et de l’extranet du groupe, incluant les portails employé et fournisseur. De 2008 à 2012, il a initialisé et piloté le programme 2.0 du groupe, ayant donné lieu au lancement du réseau social d’entreprise et au développement de nouveaux usages collaboratifs et sociaux, éléments clé d’une transformation vers l’entreprise 2.0. Auparavant (1995-2004), il était consultant sur l’adoption des NTIC et Directeur KM chez Valtech. Il est diplômé de l’école Supélec avec une spécialisation en systèmes d’informations.
Bienvenue Michel !
]]>C’est lors de son passage que Ben Gomez (Vice-président de Google) a annoncé l’arrivée du Knowledge Graph en France. Pour ceux qui ne la connaîtraient pas encore, cette évolution consiste à rendre le moteur de recherche plus intelligent. En s’appuyant sur des données issues de différentes sources (Wikipedia et Freebase pour n’en citer que deux) et en les recoupant avec vos historiques de recherches, Google vous propose désormais une sorte de « fiche d’identité pertinente » des contenus recherchés. En d’autres termes, si vous tapez « Hôtel Costes » et que votre historique de recherche indique que vous êtes un fan d’électro, le Knowledge Graph vous proposera d’acheter les albums du même nom…et non une map vous indiquant où se situe le célèbre hôtel parisien. Avec ce nouveau service, Google étend encore un peu plus son champ d’action et sort du cadre des mots en s’attaquant aux contenus. Une évolution vers la sémantique qui a pour objectif à (très) long terme de faire de Google un moteur de recherche capable d’interpréter des demandes du quotidien, telles que « que reste-t-il dans mon frigo ? » (Une évolution intimement liée au développement de l’Internet des Objets).
Un mois après l’arrivée du Knowledge Graph, c’est au tour de Facebook de dévoiler son moteur de recherche. Lui aussi exploite les graphes sociaux, en se limitant toutefois aux données issues de votre réseau (pas de recherches sur le web donc). Une évolution que Facebook qualifie de « révolution » qui vient renforcer le mouvement initié par Google en direction d’une utilisation plus poussée des données sociales de chacun.
Ces annonces faites par les géants du web que sont Facebook et Google relance le débat quant au manque de « profilage » au sein des solutions professionnelles. En effet, ces dernières sont souvent très efficaces en termes d’indexation des données de l’entreprise mais ne proposent pas une approche centrée sur les utilisateurs. Les moteurs de recherche d’entreprise n’ont pas encore pris le virage du social et restent, dans leur grande majorité, incapables d’exploiter les graphes sociaux et les expertises d’un collaborateur pour lui faire remonter des contenus crédibles et lui suggérer des personnes pertinentes.
Pourquoi un tel constat ?
Tout d’abord, l’univers de l’entreprise est différent de celui du web en général : l’information contenue dans un système d’information est plus réduite et de meilleure qualité que celle contenue sur Internet…Les besoins ne sont donc pas les mêmes étant donné le niveau de pertinence plus élevé par nature des résultats issus des bases de données d’une entreprise. En effet, si un employé de la SNCF utilise le terme « voiture » lors d’une recherche, il est plus que probable qu’il s’agisse de trains aussi il ne semble pas très utile de disposer d’un outil permettant de faire le distinguo entre une automobile et un wagon.
Ensuite, la transversalité que permettent ces nouveaux moteurs de recherches plus sociaux se trouve bloquée par l’environnement particulier de l’entreprise. Cela requiert en effet de multiples connecteurs et de pouvoir utiliser l’ensemble des données dont on dispose or, les problématiques de droits d’accès inhérentes à la sphère professionnelle rendent complexe l’utilisation de nouveaux moteurs transversaux.
Le défi s’imposant aux entreprises semble donc d’abord de favoriser la mise en relation, et de permettre aux collaborateurs de mobiliser la ou les bonnes personnes sur la base de l’interprétation de leurs activités sociales (notamment les échanges informels auxquels ils participent).
Reste que les éditeurs de moteurs de recherche ont encore aujourd’hui du mal à aller au-delà de l’association individu/métadonnées que pourront ensuite exploiter les technologies traditionnelles. Il apparaît donc un certain retard, que viennent cependant nuancer les éditeurs de RSE plus à même de proposer une solution efficace de mise en relation. A l’instar de ce que propose désormais IBM Connection, il semble que ce soient les technologies de l’analytics adjointes aux RSE qui offrent aujourd’hui le plus de perspective.
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Programme :
Pour en savoir plus et vous inscrire : http://matinee01ec.evenium.com/site/matinee-01-entreprise-collaborative
Adresse : Centre de conférences Capital 8, 32 rue Monceau 75008 Paris
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L’éditeur Azendoo l’a compris et focalise ses efforts sur les besoins de chaque utilisateur et sur la productivité d’équipe. En s’adressant directement aux collaborateurs, Azendoo (solution de Productivité Sociale), convainc l’entreprise pas à pas. Les nouveaux usages sont ainsi plus facilement compris et adoptés. Beaucoup plus proche du quotidien de chacun dans l’entreprise, Azendoo permet aux employés de partager, assigner et réaliser des taches en parfaite synchronisation de telle sorte que le travail d’équipe et les projets sont plus simples à mener. In fine, l’approche par la base permet à l’entreprise d’y gagner (et de quantifier les apports du social) en offrant une réponse réelle au trop d’emails, aux réunions interminables et à l’organisation du travail sur le travail.
Lecko, cabinet de conseil en organisation et nouvelles technologies, accompagne et renforce les entreprises dans leur gestion méthodologique des nouvelles démarches de développement des usages. Azendoo et Lecko vous invitent à un petit-déjeuner pour échanger autour la thématique du développement des nouvelles pratiques collaboratives dans les équipes.
Les nouvelles démarches de développement des usages collaboratifs et sociaux. Lecko présentera son décryptage du contexte dans les entreprises, les clefs pour réussir son accompagnement et les nouvelles démarches émergentes dans ce contexte.
Azendoo présentera son offre et sa vision de l’évolution des attentes des collaborateurs en matière de collaboration.
La Poste fait partie des clients « early adopters » d’Azendoo. Elle témoignera de l’intérêt et des bénéfices d’une solution comme Azendoo au sein de la direction des projets de l’Enseigne.
Pour réserver votre place : signaler votre présence sur la Communauté Lecko
]]>9h00 : Accueil et petit-déjeuner
9h20 : Témoignage de Grégoire Henrotte, Manager Veille, KM et gestion de l’information chez SVP, qui a récemment déployé une plateforme de veille collaborative et de Social KM pour mieux maîtriser l’information, les sources Internet et lutter contre l’infobésité
9h50 : Mise en perspective par Arnaud Rayrole, DG de Lecko, conseil en organisation et nouvelles technologies
10h15 : Conclusion par Antoine Perdaens, CEO de Knowledge Plaza, plateforme nativement construite autour de la capitalisation de l’information qui aide les entreprises à mieux organiser, retrouver et réutiliser l’information.
10h30 : Débat entre les intervenants et avec la salle
10h45 : Fin
Se pré-inscrire ici
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Un espace au coeur du Village dont la vocation est de répondre aux attentes des entreprises qui souhaitent échanger avec des experts. BlogSpirit, Bluekiwi, IBM, Jamespot, Lecko et Microsoft ont choisi de privilégier ce format sans stand dans l’optique de développer la proximité et l’interactivité.
Le Lounge sera un véritable espace de convivialité avec table basse et sièges, le café y est offert, un grand écran avec un Tweet Wall projetera toutes les réactions du public sur le #SalonRSE.
Les acteurs du Lounge vous donnent RDV à midi et en fin d’après-midi tous les jours pour prolonger les débats des conférences. Quatre témoins des conférences, praticiens ou experts du domaine, seront invités à débattre et à échanger avec le public du Lounge.
Les acteurs du Lounge organisent deux conférences plénières et feront intervenir leurs clients :
A nouveau contexte, nouvelle approche. L’entreprise se trouve aujourd’hui confrontée à une problématique de transformation inédite. Les méthodologies de conduite de changement qui ont bien fonctionné pour optimiser les processus métier à travers son informatisation, ne fonctionnent plus aujourd’hui. Elles ont montré leurs limites dans le domaine de la collaboration depuis 15 ans et le confirment dans le domaines des réseaux sociaux.
La promesse de l’entreprise 2.0 tient à la mise en réseau des collaborateurs et à leurs activités conversationnelles associées. Force est de constater que les collaborateurs maintiennent plus naturellement leur réseau sur des plateformes de Social-Networking comme Viadeo ou Linkedin qui sont externes à l’entreprise. Quelle stratégie doit adopter l’entreprise ? Comment convaincre les collaborateurs d’investir dans l’univers social de l’entreprise ?
Nous vous invitons mercredi 14 mars à 18h00 sur le Lounge pour prendre un verre !
Une édition papier à retirer sur le stand
Ce livret vous donnera la possibilité de redécouvrir les différentes productions de Lecko, tout en suivant un fil rouge autour de l’évolution des modes de relation entre les organisations et leur environnement.
Le coeur de l’étude est l’analyse du système d’information social (SI Social), enjeu majeur de la construction de l’entreprise 2.0. Quel est l’impact pour les entreprises de la socialisation de l’ensemble des applications du marché? Comment peuvent-elles gérer la coexistence entre deux logiques apparemment contradictoires: développement des usages d’un côté et volonté de rationalisation de la DSI de l’autre ? Comment Intranets et RSE peuvent-ils coexister et de quoi les entreprises ont-elles le plus besoin? Quels sont les impacts sur l’urbanisation d’un SI devenant de plus en plus social?
Atelier “Batir sa stratégie de SI social” jeudi 15 mars à 14h00.
Lecko RSE Analytics monitore les activités sociales sur une plateforme de réseau social d’entreprise afin de fournir des indicateurs aux pilotes et animateurs de ces plateformes. L’enjeu : fournir des informations pertinentes au regard des particularités des réseaux sociaux, produire des diagnostics lisibles et valoriser les progressions.
Depuis 4 mois, Lecko finalise son offre avec plusieurs clients. Jean-Marc Goachet de l’ARCES viendra témoigner des enseignements tirés de l’analyse et des indicateurs à sa disposition.
Atelier “Mesurer les évolutions vers les pratiques sociales et collaboratives avec Lecko RSE Analytics” mercredi 14 mars à 13h00.
Au plaisir de vous voir sur le salon !
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A l’heure de la démocratisation des RSE dans les grandes entreprises, de la socialisation de l’ensemble des applications du marché, les entreprises sont face à une problématique d’urbanisation de leur SI social. Ce sujet concerne autant le couplage des nouvelles applications sociales avec le SI métiers que l’interconnexion des applications sociales entre elles. Si elles n’arrivent pas à s’interconnecter, le cloisonnement applicatif qui en découlerait, pénaliserait les utilisateurs et serait un obstacle à l’organisation en réseau que les entreprises sont en train de mettre en place.
Cette étude trace le portrait de différentes évolutions en cours dans l’optique d’établir des scénarios d’évolution possibles et probables.
Au-delà de l’aspect SI, fédérer l’ensemble des collaborateurs et développer leurs pratiques sociales impactent les rapports entre collègues et avec l’entreprise. Des considérations RH et juridiques sont à prendre en compte dans ce contexte de développement du réseau social à l’échelle de l’entreprise.
La transformation du SI social est probablement comparable au passage du système informatique au système d’information. La gouvernance peut-elle être portée uniquement par la DSI ? Comment doit-elle travailler avec la DG, la DRH et les métiers ?
En complément de cette analyse de fond, l’étude comporte une mise à jour de l’analyse des solutions du marché et de la matrice des potentiels sociaux.
L’événement se déroulera en 3 temps et sera suivi d’un cocktail :
Le nombre de place étant limité, inscrivez-vous sur le site de l’événement : http://www.amiando.com/lecko_01
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