Dans une tribune publiée par L’Usine nouvelle, Nicolas Grué, consultant e-business, explique que le réseau social d’entreprise (RSE) permet notamment de « transcender les habilitations hiérarchiques, tout en respectant les limitations d’accès propres à certaines informations » Ce dispositif permet aux utilisateurs de collaborer, de partager, de capitaliser l’information tout en respectant les niveaux de confidentialité. Ceci semble être approuvé par une grande majorité de salariés mais dans les usages cela devient compliqué.
Les salariés participent très peu voir pas du tout. Le manque de temps est souvent évoqué mais aussi la peur de s’exprimer, d’être jugé.
Avant de déployer un réseau social d’entreprise, posez les objectifs simples, analysez les besoins des utilisateurs, impliquez-les, adaptez votre accompagnement. Parfois ce dernier doit être « sur mesure ».
L’engagement ne s’obtient pas en une semaine ! C’est un travail de longue haleine où les actions à mettre en place s’étalent dans le temps.
Pour mobiliser les utilisateurs, il y a des éléments essentiels que l’on oublie souvent de prendre compte dans notre réflexion :
Chaque situation est différente et il est impossible d’adapter la même stratégie à chaque environnement. Sachez que ces éléments ne sont pas les seuls à prendre en compte mais qu’il est nécessaire de les intégrer à votre stratégie de déploiement. Prendre le temps d’identifier au préalable les besoins, les sujets, les contenus à mettre à disposition, développer un accompagnement c’est assurer la pérennité de son réseau social d’entreprise.
Lorsque votre espace est lancé, pensez à prendre la température statiquement parlant, dans le but de toujours rectifier le tir. Pensez aussi à entretenir des liens avec les utilisateurs en vous intéressant à ce qu’ils font, dans le but de les connaître et ainsi de pouvoir anticiper les sujets. Je vous l’accorde ce n’est pas simple car ça prend du temps, et c’est pour cette raison qu’une personne dédiée n’est pas de trop.
L’éditeur Azendoo l’a compris et focalise ses efforts sur les besoins de chaque utilisateur et sur la productivité d’équipe. En s’adressant directement aux collaborateurs, Azendoo (solution de Productivité Sociale), convainc l’entreprise pas à pas. Les nouveaux usages sont ainsi plus facilement compris et adoptés. Beaucoup plus proche du quotidien de chacun dans l’entreprise, Azendoo permet aux employés de partager, assigner et réaliser des taches en parfaite synchronisation de telle sorte que le travail d’équipe et les projets sont plus simples à mener. In fine, l’approche par la base permet à l’entreprise d’y gagner (et de quantifier les apports du social) en offrant une réponse réelle au trop d’emails, aux réunions interminables et à l’organisation du travail sur le travail.
Lecko, cabinet de conseil en organisation et nouvelles technologies, accompagne et renforce les entreprises dans leur gestion méthodologique des nouvelles démarches de développement des usages. Azendoo et Lecko vous invitent à un petit-déjeuner pour échanger autour la thématique du développement des nouvelles pratiques collaboratives dans les équipes.
Les nouvelles démarches de développement des usages collaboratifs et sociaux. Lecko présentera son décryptage du contexte dans les entreprises, les clefs pour réussir son accompagnement et les nouvelles démarches émergentes dans ce contexte.
Azendoo présentera son offre et sa vision de l’évolution des attentes des collaborateurs en matière de collaboration.
La Poste fait partie des clients « early adopters » d’Azendoo. Elle témoignera de l’intérêt et des bénéfices d’une solution comme Azendoo au sein de la direction des projets de l’Enseigne.
Pour réserver votre place : signaler votre présence sur la Communauté Lecko
]]>Un salon qui, associé au salon RH, a rassemblé près de 7800 visiteurs dont 1900 sur les conférences. Une dynamique intéressante qui a de quoi satisfaire les exposants. La nouvelle formule du village RSE a bien fonctionné : l’espace lounge plus ouvert, tourné vers l’échange de pratiques plutôt que le commerce, est plus en phase avec la réalité de notre écosystème qui travaille de concert à un apport pédagogique au sein des entreprises.
La question de l’urbanisation du SI social et la nécessaire cohabitation entre différentes dynamiques à coordonner au sein d’un projet de gouvernance, fait consensus cette année. Il ne fait plus de doute qu‘il y aura plusieurs RSE dans l’entreprise, voulue ou non, cette construction est inévitable. Le schéma consistant à faire cohabiter des solutions d’infrastructure comme Sharepoint et Connections avec des éditeurs plus agiles et novateurs dans leur outillage des pratiques émergentes dans l’entreprise fédère de plus en plus. Nous suivrons tout particulièrement cette année ces rapprochements technologiques et les cas d’usages associés.
On a peu parlé d’intranet…. Et presque pas de cette fausse évidence d’Intranet 2.0. L’intranet continuera à vivre et devra s’articuler avec un RSE ; ils ne fusionneront pas, même si des plateformes comme Jalios, Silverpeas et Sharepoint offrent un package modulaire global.
Aujourd’hui les projets sont dans l’ensemble encore au stade de capter l’attention, d’attirer les collaborateurs sur le RSE, et pour cela, il en faut pour tous les gouts : du métier, du non professionnel, des démarches cadrées, de la liberté.
Si tout le monde parle de la conduite de changement et de son enjeu, peu d’acteurs dont c’est le métier étaient présents. A nos cotés, il y avait biensur Nextmodernity notre coopétiteur favori, mais aussi WEA et Voirin Consultants. Quatre cabinets de conseil entourés d’une grosse dizaine d’éditeurs. Tout le monde en parle, d’avis d’éditeurs, peu en font, les entreprises manquent d’expérience et hésitent à investir dans l’accompagnement. Étant consultant, mes interlocuteurs ont fait le choix inverse; mais il est vrai qu’ils obtiennent plus facilement des budgets pour acquérir de la technologie que pour investir dans la montée en compétence de leurs collaborateurs ou faire évoluer la culture interne.
Probablement que l’offre de conseil n’est pas assez concrète, que sa promesse ne donne pas confiance ou bien que règne l’impression de trouver gratuitement les conseils dans ses lieux d’échanges. Peut-être la crainte de payer un prestataire qui va faire son boulot ? Ou un manque de budget ? je m’interroge.
Barcamp organisé par Lecko, animé par Olivier Roberget (Collaboratif-info.fr), avec Philippe Pinault (Blogspirit), Anthony Poncier (Lecko), Pierre Milcent (IBM) et Bertrand Duperrin (Nextmodernity)
Faute de voir le marché innover pour proposer des offres facilitant le développement des usages, les entreprises ont pu découvrir de nouveaux éditeurs de solutions RSE : Gravity3, Inspheris, Numericube, My live company. Bienvenue à eux ! Nous les analyserons ces prochaines semaines. Le marché n’est donc pas pour l’instant dans une phase de consolidation et ses acteurs doivent encore évangéliser les entreprises. Ils devront, en conséquence, tenir dans la durée et pour cela trouver des financements, en plus d’être innovants pour se différencier. Pendant ce temps, les géants américains, Jive et Yammer, respectivement entrent en bourse ou lèvent des financements importants (Yammer http://www.forbes.com/sites/tomiogeron/2012/02/29/yammer-raises-85-million-in-new-funding/)
Pour terminer, ce fut justement pour nous l’occasion de présenter notre nouvelle offre d’accompagnement au développement des usages, Lecko RSE Analytics, s’appuyant sur la mesure des évolutions vers des pratiques sociales et collaboratives. J’en profite pour remercier Jean-Marc Goachet qui nous a fait profiter de son témoignage, son enthousiasme et sa contribution à l’amélioration de la méthodologie.
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Cette application mesure l’évolution des pratiques engendrées par les nouvelles plateformes et accompagnement associé et compare l’activité des communautés. Un service à destination des cellules de gouvernance des projets 2.0. Pour chaque communauté il est possible de diagnostiquer :
La solution est un service en ligne compatible avec toutes les solutions de RSE. Si aujourd’hui les données (logs d’activité) sont à exporter, puis importer manuellement, des connecteurs seront rapidement proposés. L’utilisation de la plateforme sera gratuite pour les plateformes de taille raisonnable, payante à prix coûtant pour les autres du fait du besoin de ressources de calcul important et des coûts d’exploitation associés. Lecko fournira des prestations de conseil autour.
Lecko est une des entreprises de conseil précurseur dans l’accompagnement au développement des usages autour des plateformes de RSE. Cette offre est née de cette expérience. Elle était notamment devenue une nécessité pour mesurer le résultat de nos interventions auprès de nos clients.
Lecko RSE Analytics s’inscrit dans la lignée de la plateforme de Serious Games SENA et du Référentiel. Notre approche du métier de conseil est d’associer Expertises, Services et Méthodologies. Les méthodologies outillées renforcent nos prestations.
N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus.
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Expliquer, puis justifier l’absence de collaboration dans l’entreprise par une question de culture est, à l’évidence, une manière de se déresponsabiliser : On ne cible personne en particulier ; surtout pas les comportements de certains au sein de l’organisation… Par définition la culture d’entreprise est quelque chose qui individuellement nous dépasse, certes. Elle existait avant notre arrivée dans l’entreprise et nous avons du nous l’approprier, OK. C’est limite si elle n’est pas implicitement “intouchable” puisque la faire évoluer reviendrait à nous déraciner et revoir notre identité. De là à conclure que si c’est une question de culture, on peut donc rien y faire… il n’y a qu’un pas. Elle a bon dos la culture d’entreprise !
Pourtant tout le monde s’accorde sur le fait que la collaboration est une question d’Hommes et pas d’outil, ni de compétences des collaborateurs. Alors pourquoi ne l’assume-t-on pas ?
Parfois nous sommes même dans le déni total : Certains ont l’impression de collaborer parce qu’ils échangent des mails. “Collaborer, on sait faire”, disent-ils, “c’est le manque d’outil qui nous pénalise”. Mais si on les interroge sur la teneur de ces mails, on se rend compte qu’il s’agit de patates chaudes. Communiquer ne veut pas dire collaborer.
Et parfois nous sommes dans l’aveuglement : D’autres voient dans l’expression individuelle des collaborateurs sur des blogs ou un RSE une montée de l’individualisme néfaste à l’entreprise. J’entends. Les égos de certains vont se sentir pousser des ailes. Et alors ? tant mieux si ca marche ! n’est-ce pas surtout un formidable support pour inciter chacun à partager et échanger autour de ses centres d’intérêts. Ce que je trouve intéressant dans la dynamique actuelle avec les RSE, c’est cette envie de mettre de la conversation autour des processus, cad ré-affirmer que les échanges mettent de l’huile dans les rouages et créent ainsi de la valeur pour l’entreprise.
Dans ce contexte mettre en place des outils collaboratifs n’est parfois qu’agitation. Si vous n’êtes pas définitivement convaincus que la difficulté ne se situe pas dans l’outil, choisissez celui qui vous semble le meilleur, la Rolls des outils collaboratifs et voyez ! A l’heure du Saas, 80% des outils collaboratifs du marché sont accessibles “on demand”, l’expérience est rapide à mettre en place.
La collaboration est bien l’affaire de tous dans l’entreprise, et chacun y est confronté au quotidien. Agir de manière collaborative est de notre responsabilité individuelle ; il faut se voir comme acteur. La collaboration n’est pas qu’un concept, elle se concrétise dans les micro-actions du quotidien. Posez-vous la question : Aujourd’hui, qu’ai-je fait de “collaboratif” ? Et comme il est difficile d’être collaboratif si l’environnement n’est pas un minimum réceptif. Demandez-vous ensuite si vous avez joué le jeu et été réceptif aux sollicitations collaboratives de vos collègues.
Conduire le changement ou développer les usages c’est travailler sur ces micro-actions à l’échelle de l’entreprise. Aider vos collègues à distinguer les comportements “collaboratifs”. Il n’y a pas de fatalité, c’est en revanche un travail de fond. Si vous ne savez pas comment agir, venez nous voir, mais ne vous attendez pas à un coup de baguette magique.
Si vous avez l’impression d’avoir fait le tour de la question, vous verrez dans les pratiques 2.0 beaucoup plus de comportements collaboratifs, qu’il n’y parait. Les RSE sont le terrain d’expression de ces micro-collaborations. Les entreprises ont aujourd’hui l’opportunité de profiter de cette impulsion, elles n’ont qu’à ouvrir les yeux, pour voir leurs collaborateurs converser sur ces plateformes.
Certaines entreprises ont ouvert la voie. Souvenez-vous, Mexico, 1968…
Êtes-vous prêt pour le 2.0 ?
SENA est une véritable plateforme pour aider au développement des usages dans l’entreprise.
Cette plateforme est une application en ligne pour développer les usages collaboratifs, 2.0 ou plus généralement ceux liées au management de l’information. Au travers d’un scénario ludique dans une entreprise virtuelle, l’utilisateur évalue son appropriation des concepts et son niveau de pratique. Pour l’entreprise utilisatrice, la force de la démarche est d’être pragmatique, d’allier sensibilisation et diagnostic et d’être ludique. L’objectif est d’aider les porteurs de ces démarches dans l’entreprise, en leur fournissant un levier pour faciliter la sensibilisation et le diagnostic des pratiques, dans l’optique d’associer une action d’accompagnement adaptée et ciblée. A vous de jouer sur http://sena.useo.net.
]]>Une véritable plateforme pour aider au développement des usages dans l’entreprise
Cette plateforme est une application en ligne pour développer les usages collaboratifs, 2.0 ou plus généralement ceux liées au management de l’information. Au travers d’un scénario ludique dans une entreprise virtuelle, l’utilisateur évalue son appropriation des concepts et son niveau de pratique. Pour l’entreprise utilisatrice, la force de la démarche est d’être pragmatique, d’allier sensibilisation et diagnostic et d’être ludique. L’objectif est d’aider les porteurs de ces démarches dans l’entreprise, en leur fournissant un levier pour faciliter la sensibilisation et le diagnostic des pratiques, dans l’optique d’associer une action d’accompagnement adaptée et ciblée.
Êtes-vous prêt pour l’entreprise 2.0 ?
La version Découverte est gratuite. Son objectif est de donner envie aux entreprises de lancer de telles campagnes. Qu’il y ait ou non un projet en phase de déploiement, développer les usages des collaborateurs est un capital essentiel pour l’avenir de l’entreprise. Établir un tel diagnostic permet, soit de voir comment mieux utiliser les outils existants, soit de préparer de nouveaux projets de manière plus éclairée.
Le scénario de la version Découverte s’intitule “Etes-vous prêt pour le 2.0?”. Il projette l’utilisateur dans l’entreprise Chips&co, dans laquelle il doit mener à bien la mise sur le marché de nouvelles chips, en 2010, dans un univers ou l’information est massive et les expertises diffuses. Useo est ensuite à la disposition des entreprises qui souhaitent concevoir leur propre dispositif de développement des usages ; le scenario Sena est un des éléments et il s’adapte également au contexte de chacun. L’évaluation restituée dans cette version est volontairement résumée à 3 niveaux. Dans la version complète d’autres indicateurs sont remontés comme par exemple : le niveau de maturité, le niveau de confiance (envers le support électronique), la sensibilité au partage et au changement.
La plateforme est accessible à l’adresse : http://sena.useo.net
A vous de jouer ! et venez nous en parler sur la communauté Useo : http://referentiel.useo.net
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