Compétences : avoir entendu parler du réseau “Internet”
Rémunération : à négocier*
Localisation de l’employeur : ville de Toile**
Comment postuler : n’envoyez pas votre CV, prenez 3 minutes pour jouer en ligne sur le serious game SENA
Si vous êtes déjà agent ou élu d’une collectivité et que vous jouez avant le 31 décembre 2013, vous pourrez peut-être gagner une journée de séminaire sur le web dans les collectivités, animée par le cabinet Lecko.
* la ville de Toile n’existant pas, il est très probable que vous ne soyez pas rémunéré
** la ville de Toile n’existant pas, il est très probable que vous n’y travailliez jamais
*** photo non contractuelle
Quelles sont les différentes stratégies de communication en ligne développées par les conseils généraux ?
100 sites étudiés, 6 axes stratégiques, 9 leviers d’optimisation, 7 conseils
Cette étude dresse un état des lieux de l’usage d’Internet par les collectivités dans le cadre de leur stratégie de communication. Utilisent-elles avec pertinence l’outil ? Exploitent-t-elles tout le potentiel ? Quels sont les choix réalisés aujourd’hui ?
Le panorama s’est volontairement porté sur une seule famille de collectivités afin d’évaluer un niveau de maturité sur une population complète et dans des situations comparables. Les enjeux en matière d’usage d’Internet sont suffisamment semblables pour l’ensemble des collectivités territoriales et les conclusions de notre études sont transposables tant aux conseils régionaux qu’aux communes..
Un an après l’élection d’Obama, celui qui a su structurer sa campagne en s’appuyant sur les réseaux sociaux et adopter ces nouvelles formes de communication et de collaboration, Nathalie Kosciusko-Morizet lance des ateliers de sensibilisation aux médias sociaux à destination des élus et les partis politiques lancent leurs propres réseaux sociaux. Face à l’importance prise par les réseaux sociaux, les directions de la communication sont confrontées à de nouveaux défis : faire passer leur collectivité dans l’ère du “conversationnel”, c’est-à-dire initier la mutation qui leur permettra d’engager le dialogue avec leur environnement et s’insérer dans des conversations.
Le bilan est déjà assez positif et on note une certaine maturité sur le marketing du territoire, la valorisation des politiques publiques et l’offre de services en ligne même si le volet “dialogue » pour l’instant embryonnaire. 2010 devrait voir le développement de projets « conversationnels » nombreux.
Sommaire de l’étude (env .70 pages) :
1. Stratégies de communication et site web
2. Les leviers à actionner
3. Nos conseils pour aligner son site avec sa stratégie de communication
L’étude s’adresse à tous les acteurs en charge de l’offre Web d’une collectivité territoriale, conseil général ou autre. Les décideurs, direction de la communication, direction générale, cabinet et élus y trouveront l’essentiel des éléments pour comprendre les enjeux et le potentiel du média Internet. Les opérationnels y trouveront les clefs pour aligner leur projet de refonte de site avec leur stratégie et leurs politiques publiques prioritaires.
]]>La communication est à un tournant de son histoire. La génération internet est devenue adulte, les politiques se saisissent de ces nouveaux outils : Web 2.0, blogs,réseaux sociaux . Quels sont les pratiques et les enjeux pour les politiques ? Comment les collectivités sont porteuses de ce nouveau dialogue social ? La liberté de communiquer autorise-t-elle tous les propos? Comment la responsabilité des élus est-elle engagée ?
Avec :
Pour en savoir plus : http://staffs.fr/
]]>Vivre en temps réel l’événement, plusieurs événements
La semaine dernière avait lieu simultanément à Paris et à Rennes : Cap-Com Net et Paris2.0, deux événements sur l’usage des nouveaux médias. Il était facile de suivre les temps forts #capcomnet et #paris20. Les échanges ont eu lieu entre les participants.
Twitter permet de faire partager et vivre des événements à distance. Les participants diffusent des “phrases clefs”, leurs ressentis, commentent ce qui leur semblent important ou notable. L’interaction avec des acteurs en dehors physiquement de l’événement génère un écho, voir une résonnance lorsque plusieurs événements se connectent simultanément.
Bénéficier du regards des autres, vivre par procuration, s’appuyer sur une chaine de confiance
Twitter donne accès à l’événement au travers du regard des participants. Et cela modifie considérable l’impact médiatique d’un événement. La dimension “réseau social” va jouer pleinement. La confiance entre les membres, leur réputation, leur audience va donner du relief au flux d’information généré par l’événement. Chaque message ou point de vue sera ainsi traité différemment.
Une omniprésence possible grâce aux messages concis
Twitter est un fil d’information, un “Reuters” sur mesure dont on définit les sources. Suivre ce flux est facile, des dizaines de messages sont balayés en quelques secondes. On s’attarde sur ceux qui nous interpellent.
Regarder la vidéo d’un événement en temps réel ou en différé demande du temps. Il est difficile d’avoir un aperçu si personne ne se charge d’en faire une synthèse. Tandis qu’il est possible de suivre un agrégat de flux sur Twitter.
Une évolution en cours
Preuve d’une certaine prise de conscience la présence de plus en plus explicite de Twitter, avec par exemple à Rennes un mur contributif multicanal (tweet, sms, mail) ou s’affichait notamment tous les tweets avec le hashtag #capcomnet.
Des équipes de bloggueurs sont souvent invités / recrutés pour relayer ce qui ressort d’un événement. Bientôt des équipes de Twitteurs ? A minima, chaque événement devrait penser en amont à son hashtag afin d’y fédérer les flux de Twitts relatifs.
Ceci montre à nouveau qu’un “usage démocratisé” peut concurrencer une technologie. Il parait évident aujourd’hui que les organisateurs d’événements ne doivent plus rechercher à multiplier les moyens de multidiffusion vidéo, couteux et moins efficaces qu’une flopée de Twitteurs dans l’assemblée. Les entreprises pensent trop souvent que l’amélioration d’une fonction ou d’un service passe par une augmentation de la puissance ou de la performance d’une technologie. Aujourd’hui, développer de nouveaux usages peut générer beaucoup plus de valeur. Cette alternative devrait être intégrée dans les départements de R&D, mais également dans le logiciel de gouvernance des projets TICs.
J’ai particulièrement apprécié l’intervention à Cap-com de Georges AMAR (en charge de la Prospective et conception innovante à la RATP) qui a défendu ce point de vue en parlant de l’évolution des transports.
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